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    Préparation détaillée en photos
    Préparation :

    Mélangez 1 ½ c. à soupe de levure sèche active levure, 2/3 tasse (150g) de sucre et 2 tasses (500ml) d’eau chaude. Laissez reposer 5 minutes.
    Transférez dans le bol du malaxeur, ajoutez ¼ tasse (60ml) d’huile et 1 ½ c. à thé/café de sel.

    Mettez l’appareil en marche, et ajoutez 6 tasses (660g) de farine, 1 tasse (110g) à la fois, en mélangeant bien après chaque addition.
    Lorsque la pâte forme une boule, transférez-la sur une surface enfarinée.
    Pétrissez d’abord avec une spatule, et ensuite avec vos mains, jusqu’à ce que la pâte soit élastique et ne colle plus.
    Mettez la pâte dans un bol graissé d’huile en aérosol, et faites-la tourner une fois pour l’enduire complètement d’huile.
    Couvrez le bol avec un linge humide, et laissez reposer pendant 1 heure dans un endroit chaud.
    Divisez la pâte en deux, et roulez chaque moitié, et repliez les côtés.

    Mettez dans deux moules graissé d’huile en aérosol, couvrez avec un linge, et laissez reposer 20 minutes.

    Faites cuire dans un four préchauffé à 180°C (350°F) pendant 30 minutes.


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  • https://www.espritsciencemetaphysiques.com/abeilles-de-l-himalaya.html?fbclid=IwAR37BfgopEMjpt-8I2GOxvhTr3WUTkoSYdX_n9dBaN7rErroMqO2m2NFwew

    Most of the nests are located on steep inaccessible, south-west facing cliffs to avoid predators and for increased exposure to direct sunlight

    Himalaya, vit une abeille qui produit ce que les habitants locaux appellent « le miel fou ». Le miel rouge, ou le miel fou de « l’Apis dorsata Laboriosa », est accroché aux falaises de l’Himalaya. Il s’agit là de l’abeille mellifère himalayenne, la plus grande du monde, également appelée l’abeille géante de l’Himalaya.

    Le miel rare et spécial de l’Apis dorsata provient exclusivement des fleurs de rhododendrons. Les rhododendrons contiennent un poison appelé grayanotoxine qui peut être toxique pour les humains et même certains animaux. Le miel issu de ce nectar toxique est un puissant hallucinogène pour l’homme, et il possède de nombreux bienfaits pour la santé.

    Les abeilles de l’Himalaya

    En petites quantités, le miel procure un effet relaxant, voire enivrant. On le décrit comme ayant un effet plutôt agréable. À fortes doses, le miel fou peut provoquer un empoisonnement au Rhododendron, ou une intoxication alimentaire, ce qui provoque des vomissements, une faiblesse musculaire, et des irrégularités cardiaques.

    As the thick, acrid smoke rises upwards the hunter waits patiently for the bees to disperse so that he can cut the exposed hives

    Cette falaise comporte huit nids, échelonnés entre vingt et soixante mètres du sol. Il y a dix ans, on dénombrait jusqu’à deux cents colonies sur un même site.

    As the honey hunter descends the rope ladder, the blood, blisters and bee stings that are synonymous with this treacherous tradition become visible

    Les abeilles de l’Himalaya

    One of the Gurung men watches from the base of the cliff as the cutter repositions himself on the rope ladder 200ft above

    Les hommes chargés de récupérer le miel sont les khudhapup (khuda signifie miel en raï). Ils vident le panier dans une grande jarre en métal repoussé avant de le filtrer.

    Using one of the bamboo poles known as a tango to push the basket hanging beside him up against the cliff face, the cutter catches the honeycomb as it falls before the basket is then lowered to the ground

    At the end of a hard days harvesting the Gurung men tuck into the wild honey for some much needed energy
    En raison de la structure du nid, formé d’un rayon unique, les cellules de stockage du miel de l’abeille géante de l’Himalaya sont cinq à dix fois plus importantes que celles de notre Apis mellifera, qui mesurent à peine plus d’un centimètre.Même si ce miel peut être est préjudiciable à des doses élevées, les habitants sont prêts à parcourir des hauteurs remarquables pour mettre la main sur ce que l’on appelle ‘le miel fou’. Découvrez ce bref documentaire sur les abeilles de l’Himalaya:

    Rectification, après en avoir discuté avec le réalisateur de la vidéo, le miel n’est pas un puissant hallucinogène mais un léger hallucinogène.

    Voici la page Facebook du réalisateur de la vidéo www.facebook.com/raphaeltrezafilm


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    NOUVELLE LUNE     7 novembre 2018 à 16h02m UTC

    PREMIER  QUARTIER 15 novembre 2018 à 14h53m UTC

    PLEINE   LUNE     23 novembre 2018 à 05h40m UTC

    DERNIER  QUARTIER 30 novembre 2018 à 00h20m UTC

    Toussaint (1er novembre 2018)

    La Toussaint est une fête catholique qui a lieu chaque année le 1er novembre. Instituée pour célébrer tous les saints, elle permet de fêter ceux qui n'ont pas de date de fête officielle dans le calendrier. Découvrez l'origine et les traditions de la Toussaint..

    Jour des défunts (2 novembre 2018)

    Le 2 novembre est le jour des défunts, propice au recueillement des familles sur la tombe de leurs disparus. A l'heure actuelle, on a tendance à honorer la mémoire de ses défunts le 1er novembre parce que ce jour férié permet à chacun de se rendre au cimetière. Découvrez l'origine et les traditions du jour des défunts...

    La Journée de la gentillesse (3 novembre 2018)

    Est-il vraiment nécessaire de consacrer toute une journée à la promotion de la gentillesse ? Sans doute, oui, car trop de gens ont le sentiment de ne pas être valorisés lorsqu'ils essaient de se montrer courtois, civils, patients et tolérants dans leur vie quotidienne. Encourager les vrais gentils à assumer cette qualité au lieu de se sentir faibles, voilà qui est utile ! Au final, le bénéfice est immense pour tout le monde lorsque la gentillesse est valorisée au lieu d'être dénigrée.

    Les vendanges (septembre - octobre 2018)

    Vous êtes à la recherche d'un job saisonnier permettant un retour à la nature, dans une ambiance festive ? Si vous avez le dos assez solide, essayez les vendanges ! En France, les vendanges ont lieu principalement en septembre et en octobre et emploient pour l'occasion de nombreux saisonniers.

    La saison de l'automne (23 septembre - 21 décembre 2018)

    En automne, régal assuré pour les amateurs de bonnes choses : les fruits sont savoureux et les champignons abondants ! A nous les bonnes poires juteuses, les marrons grillés et les pommes bien croquantes. Et, dès que les premiers froids se font sentir, on se réconforte en préparant de bonnes soupes à base de potiron ! Voici quelques idées et recettes pour un automne plein de saveurs.

    Le Beaujolais nouveau (15 novembre 2018)

    Chaque année l'arrivée du Beaujolais se produit le 3ème jeudi du mois de novembre. Vin festif par excellence, le Beaujolais Nouveau se déguste jeune et ne se conserve pas. On ne l'achète donc pas pour le mettre à la cave, mais pour le partager, entre amis ou en famille, voire même au bistrot. Profitez de l'arrivée du Beaujolais pour donner rendez-vous à vos amis autour d'un petit verre, à moins que vous ne préfériez les faire sourire avec une carte virtuelle amusante !

     

    La Sainte Catherine (25 novembre 2018)

    Le 25 novembre, on fête les Catherinettes, c'est-à-dire les jeunes filles ayant dépassé l'âge de 25 ans sans être mariées. La tradition, autrefois, était de leur faire porter un chapeau vert et jaune tout au long de cette journée. A l'heure actuelle, cette tradition s'est perdue mais l'on continue de taquiner les jeunes filles célibataires le 25 novembre et de leur envoyer une petite carte amusante à cette occasion

    Le jour des défunts

     

    C'est au XIème siècle, qu'Odilon de Cluny instaura la fête de tous les morts le 2 novembre, afin de répondre au besoin des familles de célébrer leurs défunts et de prier pour eux. Cependant la frontière entre la Toussaint et la fête des défunts ne fut jamais bien nette dans l'esprit des fidèles, et peu à peu la fête des morts déborda sur la Toussaint. Le fait que le jour de la Toussaint soit un jour férié, tandis que le 2 novembre ne l'est pas, a contribué à généraliser cette tendance. C'est pourquoi la Toussaint est devenue pour la majorité des gens le jour où l'on vient se recueillir sur la tombe des défunts de sa famille.

     

    Le 9 novembre 2018, nous fêtons les 29 ans de la chute du mur de Berlin. Un anniversaire qui marque l'avènement d'une nouvelle ère pour des millions d'Allemands jusque là privés de liberté. Cet anniversaire fera l'objet tout au long de cette journée de célébrations populaires.
    Si la réunification des deux blocs allemands ne s'est pas faite sans difficultés et continue de nécessiter un effort de soutien économique, l'immense majorité des Allemands ont accueilli avec soulagement et joie la chute de ce mur en 1989, et fêtent avec enthousiasme l'anniversaire de cet évènement.

    Le "mur de la honte"

    Érigé en 1961 par la RDA, le mur de Berlin scindait l'Allemagne en deux, symbolisant la guerre froide qui opposait les États européens placés sous influence soviétique et les États européens occidentaux. Ce mur, destiné à empêcher toute communication entre les Allemands des deux blocs, fut appelé "mur de la honte" du côté Ouest et marqua l'enfermement subi par toute une population privée de ses droits les plus élémentaires. Des familles, des amis furent séparés ; nombreux furent les drames humains.

    e 11 novembre est une fête nationale française au cours de laquelle on commémore la signature de l'armistice qui mit fin à la première guerre mondiale.

    Après l'Autriche-Hongrie le 4 novembre, c'est au tour de l'Allemagne de capituler le 11 novembre 1918. L'armistice est alors signé, à Rethondes, suspendant ainsi les hostilités. La paix sera définitivement signée le 28 juin 1919, avec la signature du traité de Versailles.

    La fin d'une guerre atroce...

    La première guerre mondiale reste dans la mémoire collective comme l'exemple d'une guerre atroce. Elle fit dix millions de morts et plus de 20 millions de soldats y participèrent, dont beaucoup rentrèrent mutilés dans leur chair et dans leur esprit. L'image des "poilus", ces soldats des tranchées vivant dans la peur, la crasse, le froid et la boue, hante encore l'imaginaire collectif. C'est pourquoi la commémoration de l'armistice du 11 novembre 1918 est empreinte de gravité. Ce n'est pas le souvenir de la victoire qui prédomine, mais celui d'une guerre ressentie comme cruelle et absurde par ceux qui la firent.

     

    Un jour de mémoire

     

    C'est à la demande des anciens combattants que la commémoration du 11 novembre devient après la guerre un moment fort de la vie publique française. Il s'agit pour ces combattants revenus à la vie civile de rappeler le sens du sacrifice de leurs camarades morts au combat . En 1920, on honore pour la première fois le soldat inconnu, dont le cercueil est placé sous l'Arc de Triomphe. Enfin, en 1922 la date du 11 novembre est décrétée fête nationale. Cette fête, qui se déroule autour du monument aux morts de chaque commune de France, mobilise les élus locaux et la population aujourd'hui comme hier

     

     

    Depuis 1995, le 16 novembre a été proclamé, à l'initiative de l'Unesco, Journée internationale pour la tolérance. Cette journée est axée sur des actions éducatives, non seulement en direction des enfants mais aussi en direction des adultes, car il est possible de grandir à tout âge !

    35 lieux magiques sur Terre que vous devez visiter au moins une fois dans votre vie 


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    http://www.unzestedestelle.fr/cake-marbre-tres-chocolat-tres-moelleux/

    L’image contient peut-être : nourriture

    Les cakes c’est toujours un peu un retour vers l’enfance, c’est assez régressif, mais quand en plus ils sont amusants à regarder, c’est encore meilleur 
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  • https://www.sain-et-naturel.com/maladie-mal-a-dit-emotions-maladies.html

     

    LE MAL A DIT

    e point de vue yogique est de regarder le corps comme un instrument de développement spirituel. Comme chaque instrument notre corps a ses propres règles et son langage.

    C’est seulement par l’ignorance que nous ne pouvons (ou ne voulons) pas entendre et comprendre ses messages. Il est devenu normal aujourd’hui de réagir sur une maladie ou une douleur avec une action répressive. Et si on essayait par un système de « décodage corporel »  trouver la cause d’une maladie qui se trouvent toujours dans le psychisme ?

    Les étapes de formation d’une maladie

    Dans son œuvre,  Ashtanga Hridaya Samhita (7ème siècle), Vabghata  évoque six stades du développement d’une maladie :
    1. Psychique : le stade causal, quand le déséquilibre apparaît au niveau du subconscient. Ce déséquilibre est lié à une conception de l’ego en interaction avec le monde extérieur

    2. Énergétique : le déséquilibre du système des canaux énergétiques (nadis).

    3. Neuroendocrinien : le dysfonctionnement du système neuroendocrinien (le déséquilibre apparaît au niveau du corps physique ;

    4. Endotoxique : le développement des toxines dans les différentes parties du corps ;

    5. Visible symptomatique : l’apparition des symptômes cliniques de la maladie ;

    6. Terminal : la destruction de l’organe malade.

    Il n’est pas difficile de déduire auxquels des ces six stades la médecine occidentale intervient dans la plupart des cas.

    On voit ici que les symptômes qui apparaissent au niveau du corps sont les derniers cris du système pour se faire apercevoir. Et en réponse à ce crie le plus souvent on essaye de faire taire le corps au lieu de lui être gratifiant.

    Dictionnaire des maladies

    Il existe aujourd’hui tout un ouvrage composé par Jacques Martel “Le grand dictionnaire des malaises et des maladies”qui permet de comprendre nos états intérieurs en faisant des observations extérieures. Ce livre est une sorte de guide pour comprendre ce qui se joue et de faire remonter en surface les choses que nous pourrions avoir tendance à refouler, ou à ne pas vouloir apercevoir. Toutes les émotions que nous refoulons à l’intérieur de nous-même parce que nous ne pouvons pas ou ne voulons pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties du corps ou se manifester à travers tel ou tel problème corporel.

    La panique peut provoquer des diarrhées.

    La colère retenue ou la rancune : une crise de foie.

    La difficulté à trouver ou à prendre sa place peut provoquer des infections urinaires à répétition.

    Quelque chose qu’on ne veut pas entendre ou quand on ne s’écoute pas : des otites, douleurs d’oreilles.

    Quelque chose qu’on n’a pas osé dire, qu’on a ravalé : des angines, des maux de gorge.

    Un refus de céder, de plier, d’obéir ou de se soumettre : des problèmes de genoux.

    Peur de l’avenir, peur du changement, peur de manquer d’argent : des douleurs lombaires.

    Intransigeance, rigidité : des douleurs cervicales et nuque raide.

    Conflit avec l’autorité : des douleurs d’épaules.

    Quand on prends trop de choses sur soi : également douleurs d’épaules avec une sensation d’un fardeau.

    Affronter une situation ou une personne sans se permettre de s’exprimer : des douleurs dentaires, aphtes, abcès.

    L’incapacité d’avancer : des douleurs dans les pieds, les chevilles.

    La colonne vertébrale est aussi un merveilleux terrain d’investigation de toutes nos émotions refoulées ! Illustration tirée du livre de R.Fiammetti : les cartes du langage émotionnel du corps avec un “décodage de notre dos”.

    Fiammetti corps mal a dit yoga&vedas

    Quelques extraits du livre de Jacques Martel

    Le foie représente les choix,  la colère, les changements et l’adaptation. On peut souffrir du foie quand on ne parvient pas à s’adapter à des changements, professionnels ou familiaux.

    Difficultés d’ajustement à une situation.

    Sentiment de manque continuel ou peur de manquer.

    Colère refoulée.

    Personnes sujettes aux maladies du foie : les personnes qui critiquent et qui jugent beaucoup (elles-mêmes et les autres) et/ou qui se plaignent souvent.

    Vésicule biliaire

    La vésicule biliaire est en rapport avec l’extérieur, la vie sociale, la lutte, les obstacles, le courage. Se battre. Esprit de conquête.

    Se faire de la bile, s’inquiéter, s’angoisser.

    Sentiment d’injustice. Colère, rancune.

    Se sentir envahi, empiété sur son territoire par une personne autoritaire.

    Agressivité rentrée et ruminante, mécontentement retenu.

    Se retenir de passer à l’action. Difficultés à faire un choix, de peur de se tromper.

    Glande thyroïde

    Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu.

    Sentiment d’être trop lent par rapport à ce qu’on attend de nous.

    Impuissance, sentiment d’être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse. Être bloqué dans la parole ou dans l’action, être empêché d’agir.

    Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir écouté. Difficultés à s’affirmer.

    Une déception ou une injustice n’a pas été « avalée » et est restée en travers de la gorge.

    Hernies

    De la détresse implose à l’intérieur et demande à être libérée.

    Désir de rompre ou de quitter une situation où on se sent coincé, mais où l’on reste par peur de manquer de quelque chose, généralement du matériel.

    Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacité à réaliser certaines choses qu’on voudrait.

    Frustration de travailler dur, se sentir poussé à aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une manière excessive, qui en demande trop. Une poussée mentale (de stress) essaie de sortir.

    Mais en plus, le lieu où siège l’hernie indique son message émotionnel de manière plus précise et complémentaire :

    Hernie inguinale (dans l’aine) : difficulté à exprimer sa créativité, secret que l’on renferme et qui nous fait souffrir. Désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu’on est obligé de côtoyer. On aimerait sortir, s’extirper de cette situation.

    Hernie ombilicale : nostalgie du ventre de la mère où tout était facile et où se sentait totalement en sécurité. Refus de la vie.

    Hernie discale : conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien. Besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide.

    Hernie hiatale : se sentir bloqué dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti.

    Refouler ses émotions. Tout vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie mais la contrôler.

    Genoux

    Douleurs aux genoux, genoux qui flanchent, genoux qui craquent, douleurs aux ménisques : refus de plier, de se « mettre à genoux » (de se soumettre) de céder, fierté, ego, caractère inflexible ou au contraire, on subit sans rien oser dire, on s’obstine, mais nos genoux nous disent que nous ne sommes pas d’accord avec cette situation.

    Difficultés à accepter les remarques ou les critiques des autres.

    Problèmes avec l’autorité, la hiérarchie, problèmes d’ego, d’orgueil.

    Devoir s’incliner pour avoir la paix.

    Ambition réfrénée ou contrariée par une cause extérieure,

    Entêtement, humiliation.

    Culpabilité d’avoir raison.

    Colère d’être trop influençable.

    Peau

    Les maladies de peau ont très souvent, à l’origine, un conflit de séparation mal géré, une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de communication. Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.

    Eczéma

    Anxiété, peur de l’avenir, difficultés à s’exprimer.

    Impatience et énervement de ne pas pouvoir résoudre une contrariété.

    Séparation, deuil, contact rompu avec un être cher.

    Chez les enfants, l’eczéma peut résulter d’un sevrage trop rapide ou d’une difficulté de la mère à accepter que son enfant ne soit plus « en elle ». Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilité non exprimée, mais que l’enfant ressent et somatise ainsi. Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité.

    Acné 

    Manière indirecte de repousser les autres, par peur d’être découvert, de montrer ce qu’on est réellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas être aimé tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crée une barrière pour que les autres ne nous approchent pas.

    Refus de sa propre image, de sa personnalité ou de sa nouvelle apparence.

    Honte des transformations corporelles.

    Difficulté à être soi-même, refus de ressembler au parent du même sexe

    Psoriasis 

    Personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre.

    Besoin de se sentir parfait pour être aimé.

    Souvent une double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un ancien conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation.

    Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau.

    Se protéger d’un rapprochement physique, ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.

    Bras

    Il y a de nombreuses causes émotionnelles liées aux douleurs et aux problèmes de bras.

    Les bras sont le prolongement du coeur et sont liés à l’action de faire et de recevoir, ainsi que l’autorité, le pouvoir.

    Les douleurs aux bras peuvent être liées à de la difficulté à aimer ce que je dois faire. Se sentir inutile, douter de ses capacités, ce qui amène la personne à se replier sur elle et à s’apitoyer sur ses souffrances.

    Se croire obligé de s’occuper de quelqu’un.

    Ne pas se sentir à la hauteur lorsqu’on est le « bras droit » de quelqu’un.

    Difficulté à prendre les autres dans ses bras, à  leur montrer de l’affection.

    S’empêcher de faire des choses pour soi-même, parce qu’on se souviens des  jugements négatifs et des interdictions durant  l’enfance, ce qui était blessant.

    Ne pas se permettre de prendre ou je regretter d’avoir pris quelque chose, ou de penser avoir obtenu quelque chose sans le ne mériter.

    Se rapporter au fait d’avoir été jugé par ses parents.

    Vouloir emprisonner quelqu’un dans ses bras pour l’avoir sous contrôle, mais avoir dû le laisser s’envoler, et ne plus pouvoir l’aimer et le protéger (un enfant, par exemple).

    Vivre une situation d’échec, devoir baisser les bras.

    Épaules

    La fonction première des épaules est de porter. Les épaules portent les joies, les peines, les responsabilités, les insécurités.

    Le fardeau de nos actions et tout ce qu’on voudrait faire, mais qu’on ne se permet pas, ou qu’on n’ose pas.

    On se rend responsable du bonheur des autres, on prend tout sur soi, on a trop à faire, on se sent écrasé, pas épaulé, pas soutenu.

    Douleurs possibles aussi quand on nous empêche d’agir, ou que l’on on nous impose des choses.

    Lorsqu’on vit une situation dont ont ne veut plus, on désire passer à autre chose, mais le manque de confiance en soi nous bloque.

    On manque d’appui, on manque de moyens. On ne se sent pas aidé.

    Une personne chère ou l’un de nos parents vit de la tristesse et on aimerait prendre son chagrin et ses problèmes pour l’en libérer.

    Colère retenue contre un enfant ou une autre personne qui se la coule douce alors qu’on ne se donne même pas le droit de prendre un temps de pause.

    Au travail ou à la maison, avec son conjoint, on se sent dans l’obligation de se soumettre, on se sent dominé sans oser réagir.

    On vit de l’insécurité affective (douleur épaule gauche) ou de l’insécurité matérielle (douleur épaule droite).

    Épaules rigides et bloquées sont signe d’un blocage de la circulation de l’énergie du coeur, qui va vers l’épaule, puis vers le bras, le bras donne (le bras droit) et reçoit (le bras gauche).

    Ce blocage d’énergie est souvent retenu dans une articulation ou un tissu (capsulite, bursite).

    L’énergie doit circuler du coeur vers les bras pour permettre de faire, de réaliser ses désirs.

    On porte des masques, on bloque ses sentiments, on entretient des rancunes (douleurs dans les trapèzes, surtout à gauche). parfois envers soi-même.

    On paralyse ses épaules pour s’empêcher d’aller de l’avant, de faire ce qu’on aimerait vraiment. On prend le fardeau sur soi plutôt que d’exprimer ses demandes et ses ressentis, de peur de mécontenter l’autre.

    Difficulté ou impossibilité à lever le bras : conflit profond avec sa famille, difficulté à voler de ses propres ailes.

    Dialoguez avec le corps

    Essayez de modifier, clarifier ou de lâcher-prise par rapport à la situation qui vous perturbe. Le mot lui même maladie pointe sur ce mécanisme d’expression corporelle : « le mal a dit ». Votre douleur essaie de vous dire quelque chose, de vous signaler que quelque chose perturbe l’harmonie en vous, d’attirer votre attention sur quelque chose à changer dans votre vie.

    N’ayez pas peur, ne haïssez pas vos maladies! Reconnaissez et acceptez les émotions, si vous les éprouvez, mettez des mots dessus, acceptez votre ressenti. Une fois les émotions négatives reconnues, acceptées et évacuées, le corps peut cesser de vous envoyer ce message de « mal a dit. »


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