• https://www.sain-et-naturel.com/organes-sont-lies-aux-emotions.html

     

    Il est bon de garder ses émotions sous contrôle pour jouir d’une bonne santé, car nos organes intérieurs peuvent aussi être affectés par nos états émotionnels.

    Vous êtes-vous déjà demandé comment les émotions influent sur les organes de votre corps ?

    Selon la médecine chinoise traditionnelle, notre corps répond à chaque stimulation, intérieure ou extérieure, qui génère une tempête de réactions.

    Notre organisme n’est pas uniquement conçu pour métaboliser les fonctions basiques de transformation des aliments en énergie pour notre survie.

    Il transforme aussi toutes les stimulations et génère une réponse positive ou négative, qui affecte tous les organes dont il est composé.

    En plus des stimulations physiques qu’il reçoit à travers les sens, se trouvent les émotions ou les sentiments qui, même s’ils semblent ne rien affecter physiquement, entraînent des réactions qui stimulent ou inhibent certains organes de notre corps.

    C’est un processus sain mais quand les émotions sont graves, négatives et prolongées, elles peuvent nuire aux organes et les rendre encore plus vulnérables face à des maladies.

    Les organes et les émotions qui les affectent

    liés aux émotionsComment les organes du corps sont-ils liés aux émotions ?

    Le processus de détérioration de n’importe quel organe a un lien direct avec les émotions et les sentiments que nous expérimentons.

    Si vous tenez compte que lorsqu’un organe est affecté, il déséquilibre tout notre corps, il est important de connaître la cause émotionnelle qui l’affecte, pour travailler à la guérison.

    Cela implique de changer l’état de nos émotions et de les transformer en pensée positives.

    Dans cet article, nous allons vous expliquer quels sont les organes et les émotions qui peuvent les affecter.

    1. Cœur et intestin grêle : la joie

     

    Selon la médecin traditionnelle chinoise, la joie est l’émotion qui est liée à deux organes.

    En accord avec les processus du corps, le cœur régule le sang et contrôle les vaisseaux sanguins. L’intestin grêle, lui, est chargé d’absorber les nutriments et les minéraux des aliments.

    Même si une émotion saine comme la joie stimule le fonctionnement de ces organes, les excès qui en proviennent peuvent entraîner les phénomènes suivants :

    • Nervosité
    • Tachycardie
    • Insomnie
    • Manque de concentration

    Les personnes qui ont ces organes affectés sont souvent des personnes sensibles, extraverties et bavardes, qui ont des émotions débordantes et une émotivité accrue.

    Prendre soin de son euphorie, de son agitation, de son excitation ou de son excès d’émotivité aidera au bon fonctionnement de ces organes, essentiels pour notre corps.

    2. Le foie et la vésicule biliaire : la colère

    La colère, comme toutes les émotions dérivées, est associée à ces organes.

    Le foie est chargé de stocker le sang et de réguler la circulation de l’énergie vitale. La vésicule biliaire, quant à elle, accumule et secrète la bile.

    Si vous avez des problèmes avec ces organes, peut-être que vous êtes une personne très dynamique, mais excessivement préoccupée et qui peut même réagir avec agressivité.

    En plus de la colère, vous devrez faire attention aux sentiments de frustration et d’indignation.

    Il faut savoir qu’un foie qui fonctionne normalement produit une énergie génératrice et libératrice

    3. La rate et l’estomac : l’obsession

    Ces organes sont liés à l’obsession, à la nostalgie et à la réflexion.

    Alors que l’estomac transforme les aliments, la rate, qui fait partie du système lymphatique, lutte contre les infections et maintient l’équilibre des liquides dans le corps.

     

    Celleux qui souffrent de maladies en lien avec ces organes sont des personnes tranquilles et calmes mais qui ont des difficultés à prendre des décisions.

    L’équilibre de l’énergie entre les deux organes favorise la compassion et l’empathie.

    4. Le poumon et le gros intestin : la tristesse

    Ces organes sont liés à la mélancolie, à la tristesse et à l’affliction.

    Les poumons régulent la respiration et l’intestin s’occupe de la digestion, de l’absorption des nutriments et de l’immunité de l’organisme.

    Si vous avez des problèmes avec ces organes, peut-être que vous êtes une personne indépendante et très rationnelle, mais vous avez tendance à vous renfermer dans votre propre monde intérieur.

    Des symptômes physiques peuvent apparaître, tels que le manque d’appétit, l’oppression dans la poitrine ou le dégoût.

    5. Les reins et la vessie : la peur

    Les reins sont associés à la peur et à l’angoisse. Ces organes se chargent de l’évacuation des déchets dans le sang, alors que la vessie stocke l’urine et contrôle l’excrétion.

    Certaines personnes, qui présentent une douleur lombaire, une fragilité et d’autres symptômes, peuvent passer par des situations d’incertitude.

    Maintenir l’équilibre de l’énergie rénale permet de développer la confiance en ses capacités propres.

    Maintenant que vous connaissez les émotions qui affectent les organes du corps, vous pouvez travailler pour les transformer en pensées positives et favoriser la guérison de votre organisme.


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  • https://www.sain-et-naturel.com/maladie-mal-a-dit-emotions-maladies.html

     

    LE MAL A DIT

     

     

    Le point de vue yogique est de regarder le corps comme un instrument de développement spirituel. Comme chaque instrument notre corps a ses propres règles et son langage.

    C’est seulement par l’ignorance que nous ne pouvons (ou ne voulons) pas entendre et comprendre ses messages. Il est devenu normal aujourd’hui de réagir sur une maladie ou une douleur avec une action répressive. Et si on essayait par un système de « décodage corporel »  trouver la cause d’une maladie qui se trouvent toujours dans le psychisme ?

    Les étapes de formation d’une maladie

    Dans son œuvre,  Ashtanga Hridaya Samhita (7ème siècle), Vabghata  évoque six stades du développement d’une maladie :
    1. Psychique : le stade causal, quand le déséquilibre apparaît au niveau du subconscient. Ce déséquilibre est lié à une conception de l’ego en interaction avec le monde extérieur

    2. Énergétique : le déséquilibre du système des canaux énergétiques (nadis).

    3. Neuroendocrinien : le dysfonctionnement du système neuroendocrinien (le déséquilibre apparaît au niveau du corps physique ;

    4. Endotoxique : le développement des toxines dans les différentes parties du corps ;

    5. Visible symptomatique : l’apparition des symptômes cliniques de la maladie ;

    6. Terminal : la destruction de l’organe malade.

    Il n’est pas difficile de déduire auxquels des ces six stades la médecine occidentale intervient dans la plupart des cas.

    On voit ici que les symptômes qui apparaissent au niveau du corps sont les derniers cris du système pour se faire apercevoir. Et en réponse à ce crie le plus souvent on essaye de faire taire le corps au lieu de lui être gratifiant.

    Dictionnaire des maladies

    Il existe aujourd’hui tout un ouvrage composé par Jacques Martel “Le grand dictionnaire des malaises et des maladies”qui permet de comprendre nos états intérieurs en faisant des observations extérieures. Ce livre est une sorte de guide pour comprendre ce qui se joue et de faire remonter en surface les choses que nous pourrions avoir tendance à refouler, ou à ne pas vouloir apercevoir. Toutes les émotions que nous refoulons à l’intérieur de nous-même parce que nous ne pouvons pas ou ne voulons pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties du corps ou se manifester à travers tel ou tel problème corporel.

    La panique peut provoquer des diarrhées.

    La colère retenue ou la rancune : une crise de foie.

    La difficulté à trouver ou à prendre sa place peut provoquer des infections urinaires à répétition.

    Quelque chose qu’on ne veut pas entendre ou quand on ne s’écoute pas : des otites, douleurs d’oreilles.

    Quelque chose qu’on n’a pas osé dire, qu’on a ravalé : des angines, des maux de gorge.

    Un refus de céder, de plier, d’obéir ou de se soumettre : des problèmes de genoux.

    Peur de l’avenir, peur du changement, peur de manquer d’argent : des douleurs lombaires.

    Intransigeance, rigidité : des douleurs cervicales et nuque raide.

    Conflit avec l’autorité : des douleurs d’épaules.

    Quand on prends trop de choses sur soi : également douleurs d’épaules avec une sensation d’un fardeau.

    Affronter une situation ou une personne sans se permettre de s’exprimer : des douleurs dentaires, aphtes, abcès.

    L’incapacité d’avancer : des douleurs dans les pieds, les chevilles.

    La colonne vertébrale est aussi un merveilleux terrain d’investigation de toutes nos émotions refoulées ! Illustration tirée du livre de R.Fiammetti : les cartes du langage émotionnel du corps avec un “décodage de notre dos”.

    Fiammetti corps mal a dit yoga&vedas

    Quelques extraits du livre de Jacques Martel

    Foie

    Le foie représente les choix,  la colère, les changements et l’adaptation. On peut souffrir du foie quand on ne parvient pas à s’adapter à des changements, professionnels ou familiaux.

    Difficultés d’ajustement à une situation.

    Sentiment de manque continuel ou peur de manquer.

    Colère refoulée.

    Personnes sujettes aux maladies du foie : les personnes qui critiquent et qui jugent beaucoup (elles-mêmes et les autres) et/ou qui se plaignent souvent.

    Vésicule biliaire

    La vésicule biliaire est en rapport avec l’extérieur, la vie sociale, la lutte, les obstacles, le courage. Se battre. Esprit de conquête.

    Se faire de la bile, s’inquiéter, s’angoisser.

    Sentiment d’injustice. Colère, rancune.

    Se sentir envahi, empiété sur son territoire par une personne autoritaire.

    Agressivité rentrée et ruminante, mécontentement retenu.

    Se retenir de passer à l’action. Difficultés à faire un choix, de peur de se tromper.

    Glande thyroïde

    Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu.

    Sentiment d’être trop lent par rapport à ce qu’on attend de nous.

    Impuissance, sentiment d’être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse. Être bloqué dans la parole ou dans l’action, être empêché d’agir.

    Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir écouté. Difficultés à s’affirmer.

    Une déception ou une injustice n’a pas été « avalée » et est restée en travers de la gorge.

    Hernies

    De la détresse implose à l’intérieur et demande à être libérée.

    Désir de rompre ou de quitter une situation où on se sent coincé, mais où l’on reste par peur de manquer de quelque chose, généralement du matériel.

    Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacité à réaliser certaines choses qu’on voudrait.

    Frustration de travailler dur, se sentir poussé à aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une manière excessive, qui en demande trop. Une poussée mentale (de stress) essaie de sortir.

    Mais en plus, le lieu où siège l’hernie indique son message émotionnel de manière plus précise et complémentaire :

    Hernie inguinale (dans l’aine) : difficulté à exprimer sa créativité, secret que l’on renferme et qui nous fait souffrir. Désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu’on est obligé de côtoyer. On aimerait sortir, s’extirper de cette situation.

    Hernie ombilicale : nostalgie du ventre de la mère où tout était facile et où se sentait totalement en sécurité. Refus de la vie.

    Hernie discale : conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien. Besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide.

    Hernie hiatale : se sentir bloqué dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti.

    Refouler ses émotions. Tout vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie mais la contrôle

    Genoux

    Douleurs aux genoux, genoux qui flanchent, genoux qui craquent, douleurs aux ménisques : refus de plier, de se « mettre à genoux » (de se soumettre) de céder, fierté, ego, caractère inflexible ou au contraire, on subit sans rien oser dire, on s’obstine, mais nos genoux nous disent que nous ne sommes pas d’accord avec cette situation.

    Difficultés à accepter les remarques ou les critiques des autres.

    Problèmes avec l’autorité, la hiérarchie, problèmes d’ego, d’orgueil.

    Devoir s’incliner pour avoir la paix.

    Ambition réfrénée ou contrariée par une cause extérieure,

    Entêtement, humiliation.

    Culpabilité d’avoir raison.

    Colère d’être trop influençable.

    Peau

    Les maladies de peau ont très souvent, à l’origine, un conflit de séparation mal géré, une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de communication. Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.

    Eczéma

    Anxiété, peur de l’avenir, difficultés à s’exprimer.

    Impatience et énervement de ne pas pouvoir résoudre une contrariété.

    Séparation, deuil, contact rompu avec un être cher.

    Chez les enfants, l’eczéma peut résulter d’un sevrage trop rapide ou d’une difficulté de la mère à accepter que son enfant ne soit plus « en elle ». Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilité non exprimée, mais que l’enfant ressent et somatise ainsi. Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité.

    Acné 

    Manière indirecte de repousser les autres, par peur d’être découvert, de montrer ce qu’on est réellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas être aimé tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crée une barrière pour que les autres ne nous approchent pas.

    Refus de sa propre image, de sa personnalité ou de sa nouvelle apparence.

    Honte des transformations corporelles.

    Difficulté à être soi-même, refus de ressembler au parent du même sexe.

    Psoriasis 

    Personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre.

    Besoin de se sentir parfait pour être aimé.

    Souvent une double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un ancien conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation.

    Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau.

    Se protéger d’un rapprochement physique, ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.

    Bras

    Il y a de nombreuses causes émotionnelles liées aux douleurs et aux problèmes de bras.

    Les bras sont le prolongement du coeur et sont liés à l’action de faire et de recevoir, ainsi que l’autorité, le pouvoir.

    Les douleurs aux bras peuvent être liées à de la difficulté à aimer ce que je dois faire. Se sentir inutile, douter de ses capacités, ce qui amène la personne à se replier sur elle et à s’apitoyer sur ses souffrances.

    Se croire obligé de s’occuper de quelqu’un.

    Ne pas se sentir à la hauteur lorsqu’on est le « bras droit » de quelqu’un.

    Difficulté à prendre les autres dans ses bras, à  leur montrer de l’affection.

    S’empêcher de faire des choses pour soi-même, parce qu’on se souviens des  jugements négatifs et des interdictions durant  l’enfance, ce qui était blessant.

    Ne pas se permettre de prendre ou je regretter d’avoir pris quelque chose, ou de penser avoir obtenu quelque chose sans le ne mériter.

    Se rapporter au fait d’avoir été jugé par ses parents.

    Vouloir emprisonner quelqu’un dans ses bras pour l’avoir sous contrôle, mais avoir dû le laisser s’envoler, et ne plus pouvoir l’aimer et le protéger (un enfant, par exemple).

    Vivre une situation d’échec, devoir baisser les bras.

    Épaules

    La fonction première des épaules est de porter. Les épaules portent les joies, les peines, les responsabilités, les insécurités.

    Le fardeau de nos actions et tout ce qu’on voudrait faire, mais qu’on ne se permet pas, ou qu’on n’ose pas.

    On se rend responsable du bonheur des autres, on prend tout sur soi, on a trop à faire, on se sent écrasé, pas épaulé, pas soutenu.

    Douleurs possibles aussi quand on nous empêche d’agir, ou que l’on on nous impose des choses.

    Lorsqu’on vit une situation dont ont ne veut plus, on désire passer à autre chose, mais le manque de confiance en soi nous bloque.

    On manque d’appui, on manque de moyens. On ne se sent pas aidé.

    Une personne chère ou l’un de nos parents vit de la tristesse et on aimerait prendre son chagrin et ses problèmes pour l’en libérer.

    Colère retenue contre un enfant ou une autre personne qui se la coule douce alors qu’on ne se donne même pas le droit de prendre un temps de pause.

    Au travail ou à la maison, avec son conjoint, on se sent dans l’obligation de se soumettre, on se sent dominé sans oser réagir.

    On vit de l’insécurité affective (douleur épaule gauche) ou de l’insécurité matérielle (douleur épaule droite).

    Épaules rigides et bloquées sont signe d’un blocage de la circulation de l’énergie du coeur, qui va vers l’épaule, puis vers le bras, le bras donne (le bras droit) et reçoit (le bras gauche).

    Ce blocage d’énergie est souvent retenu dans une articulation ou un tissu (capsulite, bursite).

    L’énergie doit circuler du coeur vers les bras pour permettre de faire, de réaliser ses désirs.

    On porte des masques, on bloque ses sentiments, on entretient des rancunes (douleurs dans les trapèzes, surtout à gauche). parfois envers soi-même.

    On paralyse ses épaules pour s’empêcher d’aller de l’avant, de faire ce qu’on aimerait vraiment. On prend le fardeau sur soi plutôt que d’exprimer ses demandes et ses ressentis, de peur de mécontenter l’autre.

    Difficulté ou impossibilité à lever le bras : conflit profond avec sa famille, difficulté à voler de ses propres ailes.

    Dialoguez avec le corps

    Essayez de modifier, clarifier ou de lâcher-prise par rapport à la situation qui vous perturbe. Le mot lui même maladie pointe sur ce mécanisme d’expression corporelle : « le mal a dit ». Votre douleur essaie de vous dire quelque chose, de vous signaler que quelque chose perturbe l’harmonie en vous, d’attirer votre attention sur quelque chose à changer dans votre vie.

    N’ayez pas peur, ne haïssez pas vos maladies! Reconnaissez et acceptez les émotions, si vous les éprouvez, mettez des mots dessus, acceptez votre ressenti. Une fois les émotions négatives reconnues, acceptées et évacuées, le corps peut cesser de vous envoyer ce message de « mal a dit. »


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  • Tout le monde sait que se coucher tard le soir ou manger de trop est mauvais pour la santé. Et pourtant, il existe des gestes que nous faisons depuis des années sans penser mal faire et qui, en réalité, s’avèrent être dangereux pour la santé. Savais-tu que si tu éternues en te bouchant le nez tu peux finir aux urgences d’un hôpital ? Et que le chewing-gum, outre abîmer tes plombages, peut t’empêcher de te concentrer ?

    Sympa a créé pour toi une petite liste de ces habitudes dites anodines qui, en fait, peuvent te porter pas mal de préjudices.

    1. Retenir un éternuement

    Les parties de ton corps qui en subissent les conséquences négatives : le système respiratoire, les vaisseaux sanguins de la tête, le cerveau. Si tu as mauvaise chance : l’œsophage.

    La fonction principale de l’éternuement n’est autre que se débarrasser des bactéries, des virus et des particules de poussière. Quand tu réprimes ton éternuement, tu empêches les bactéries de sortir. Mais ce n’est pas tout : imagine ce qui se passerait si tu essayais de tirer une arme à feu tout en fermant le canon. C’est exactement ce qui se passe au niveau du nasopharynx : toute la force du " coup " part vers l’arrière, l’oreille pouvant être atteinte, par exemple, à cause de l’augmentation de la pression intracrânienne, ou causer des dommages au niveau de l’œsophage (si tu es en train de manger juste à ce moment-là).

    2. Utiliser des cure-dents

    Les parties de ton corps qui en subissent les conséquences négatives : les gencives.

    Les dentistes déconseillent l’utilisation des cure-dents. Ils sont relativement inoffensifs pour l’émail des dents, mais les gencives souffrent énormément. De plus, il est presque impossible de nettoyer les espaces interdentaires avec cet outil. Pour avoir une bonne hygiène buccale, mieux vaut utiliser le fil dentaire : il est beaucoup plus sûr si tu l’utilises correctement.

    3. Dormir à plat ventre

    Les parties de ton corps qui en subissent les conséquences négatives : la respiration, la circulation sanguine, la colonne vertébrale et la peau.

    Le fait de dormir à plat ventre en appuyant le visage sur l’oreiller peut être très confortable mais c’est, en même temps, très nocif. Quand tu adoptes cette position, la respiration devient difficile, le cou se trouve dans une position antinaturelle et la circulation sanguine et les vertèbres sont affectées. Les médecins avertissent sur le fait que les rides faciales temporaires qui se forment pendant le sommeil deviennent permanentes au bout d’un certain temps.

    4. Éplucher les graines de tournesol avec les dents

    Les parties de ton corps qui en subissent les conséquences négatives : les dents et la vésicule biliaire.

    Les graines de tournesol sont savoureuses et en plus, très saines. Tu dois les éplucher avec les doigts et jamais avec les dents. Les dentistes reconnaissent toujours les “rongeurs” expérimentés de par les marques si caractéristiques que cette habitude laisse sur les dents. D’autre part, ces graines sont tout à fait déconseillées aux personnes qui ont des problèmes de vésicule biliaire et de surpoids : leur teneur calorique est de 500 kcals pour 100 grammes.

    5. Mordre des objets durs

    Les parties de ton corps qui en subissent les conséquences négatives : les dents, les gencives et la muqueuse buccale.

    L’émail des dents s’abîme très vite chez ceux qui adorent ronger des trombones, des crayons ou tout autre objet à la superficie dure. Mieux vaut donc éviter d’ouvrir des bouteilles ou des noix avec les dents, et de mordre des glaçons ou des bonbons durs. Tu peux en plus être atteint d’une stomatite ou t’infecter avec la bactérie Escherichia coli.

    6. Attendre longtemps avant d’aller aux toilettes

    Les parties de ton corps qui en subissent les conséquences négatives : les reins, le système urogénital et les intestins.

    En juin 2018, un jeune joueur anglais a fini sa journée à l’hôpital après avoir passé huit heures d’affilée à jouer à un jeu vidéo, sans aller une seule fois aux toilettes. Ses intestins et sa vessie étaient si enflés que les médecins ont craint un cancer. Les experts de la santé sont persuadés du fait qu’il est très nocif d’attendre longtemps avant d’aller aux toilettes, car les muscles comprimés cessent de fonctionner correctement et les risques d’infection au niveau du tractus urinaire peuvent augmenter, ainsi que la constipation.(....ca c est courant chez  moi)

    7. Se laver les cheveux à l’eau chaude

    Les parties de ton corps qui en subissent les conséquences négatives : les vaisseaux sanguins du cerveau et le cuir chevelu.

    Si tu aimes prendre ta douche avec de l’eau très chaude, mieux vaut songer à changer cette habitude. En premier lieu, elle peut te causer de terribles maux de tête et des vertiges. D’autre part, sous l’eau chaude, les glandes sébacées du cuir chevelu commencent à travailler à un rythme accéléré et les cheveux deviennent de plus en plus gras.

    8. Toucher ton visage avec tes doigts et te frotter les yeux

    Les parties de ton corps qui en subissent les conséquences négatives : la peau et les yeux.

    Des éruptions, de l’acné ou un herpès : voici ce que peuvent te provoquer les micro organismes qui arrivent à ton visage à travers tes mains. Si tu frottes tes yeux avec les mains sales, par exemple, tu peux avoir une conjonctivite. Il s’agit d’une maladie infectieuse très désagréable qui cause de l’inflammation, du larmoiement, de la démangeaison et de la photophobie.

    9. Manger trop souvent du chewing-gum

    Les parties de ton corps qui en subissent les conséquences négatives : l’estomac, les dents et la mémoire à court terme.

    Voici les conséquences de cette habitude :

    • Le fait de mâcher stimule l’augmentation de la sécrétion des sucs gastriques. Mieux vaut ne pas prendre de chewing-gum avant les repas, car cela peut provoquer une gastrite, voire des ulcères à l’estomac.
    • Le chewing-gum est mauvais pour les dents et pour les plombages. L’augmentation de la salivation cause une érosion de ces derniers et les superficies de mastication s’endommagent à cause des mouvements intenses des mandibules.
    • Le chewing-gum atteint également la mémoire. Son utilisation peut faciliter la mémorisation et aider à se concentrer sur des tâches qui requièrent une observation prolongée. Or, la mémoire à court terme a tendance à empirer, et tu peux devenir plus distrait.

    10. Lire couché

    Les parties de ton corps qui en subissent les conséquences négatives : les yeux, la colonne vertébrale, la peau du cou.

    Quand tu lis allongé, tu dois respecter les règles suivantes :

    • Ne pas porter le livre trop près des yeux (moins de 25 centimètres).
    • Ne pas trop forcer ni courber le cou.
    • Inutile de lire complètement allongé, de côté : la distance du livre par rapport à chaque œil sera différente, et l’effort sera bien plus important.
    • Ne jamais lire couché à plat-ventre : ta colonne vertébrale ne le supportera pas longtemps.

    Tu nous diras que c’est difficile de respecter toutes ces règles. Et c’est vrai ! Mieux vaut dans ce cas à éviter de lire dans cette position car, en plus, elle contribue à l’apparition précoce de rides horizontales profondes au niveau du cou

    1. Lécher de petites blessures et souffler dessus

    Les parties de ton corps qui en subissent les conséquences négatives : la peau

    Que fais-tu en premier lorsque tu te coupes un doigt ? Tu souffles dessus, tu le mets dans ta bouche ? Des scientifiques de l’Université de Harvard ont fait le décompte de plus de 600 espèces de microorganismes qui habitent dans la bouche d’un être humain, dont différents staphylocoques et streptocoques. Le sang coagulé sur la blessure est un excellent milieu pour leur prolifération. Cesse donc de faire ce geste, et soigne la blessure avec des médicaments spéciaux. Autrement celle-ci va mettre plus longtemps à guérir et elle pourrait s’infecter.

    12. Chuchoter

    Les parties de ton corps qui en subissent les conséquences négatives : les cordes vocales et le larynx.

    Une étude du scientifique et oto-rhino-laryngologiste R. Sataloff, a révélé que la plupart des gens serrent et tendent trop leurs cordes vocales lorsqu’elles parlent en chuchotant. Ceci augmente le risque de microtraumatismes au niveau du larynx, ce qui est très dangereux pour ceux qui doivent parler toute la journée, ou pour ceux qui sont atteints de laryngite.


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    https://sympa-sympa.com/creation-bien-etre/9-signes-qui-montrent-une-allergie-au-gluten-525660/?fbclid=IwAR0HKFIi2n9zyBUZSKAuFjbTzGw7SYWjHdh1fh7aBg4EpaJqKOoAE4e950Y

     

    Le gluten est aussi appelé “l’assassin silencieux”, parce qu’il peut faire beaucoup de dégâts dans ton corps sans que tu ne t’en rendes compte. La plupart du temps, les personnes qui présentent des intolérances à ce produit ne sont pas conscientes des conséquences de sa consommation. Afin de ne pas subir ces désagréments, tu devrais vérifier si tu n’y es pas allergique.

    Sur Sympa-sympa.com, nous avons créé une liste des principaux symptômes qui peuvent apparaître lorsque l’on est intolérant au gluten.

    1. Problèmes au niveau du sytème digestif

    Les symptômes sont principalement liés aux intestins : nausées, ballonnements, diarrhées, douleurs abdominales et même constipation. Il est assez fréquent que les gens associent ces signes à d’autres maladies, ce qui entraîne souvent un diagnostic erroné de syndrome du côlon irritable (SCI) chez les patients. Des études confirment qu’environ 10 à 15 % de la population mondiale souffre de cette maladie, mais cela peut conduire les personnes intolérantes au gluten à ne pas recevoir de traitement adéquat, et donc à ne jamais se débarrasser de tous les symptômes.

    2. Variations inexplicables du poid

    L’intolérance au gluten peut entraîner à la fois une perte et un gain de poids sans raison particulière. Cela est dû à des processus inflammatoires au niveau cellulaire et à des troubles métaboliques. Un changement soudain de poids peut être lié à des maladies très désagréables mais aussi à une intolérance au gluten si cela s’accompagne de symptômes de malabsorption.

    3. Déséquilibre hormonal

    l existe une relation étroite entre la maladie coeliaque et les troubles hormonaux qui peuvent survenir, comme un cycle menstruel irrégulier, des fluctuations soudaines du poids, le syndrome prémenstruel et des troubles du sommeil. Les défaillances hormonales causées par cette intolérance peuvent être accentuées principalement pendant la puberté, la grossesse et la ménopause. Prends en compte que ces symptômes sont faciles à reconnaître chez une femme.

    4. Problèmes liés au système nerveux central

    Le gluten augmente l’inflammation et la perméabilité de l’intestin. Par conséquent, les symptômes d’intolérance peuvent comprendre des problèmes de concentration, la dépression, l’anxiété, l’insomnie et la fatigue. Certaines personnes souffrant de cette allergie peuvent se sentir irritables et d’humeur instable.

    Selon l’information recueillie dans une étude, les personnes intolérantes au gluten sont plus susceptibles que les autres de souffrir de migraine et de maux de tête. Ces douleurs sont souvent ressenties trente à soixante minutes après chaque repas et leurs causes peuvent être très variables.

    5. Problèmes de peau et d’ongles

    La kératose pilaire et la dermatite herpétiforme sont deux maladies de peau directement liées à l’intolérance au gluten. Certains des symptômes comprennent des démangeaisons et des éruptions cutanées qui peuvent apparaître sur les mains, le tronc, le visage, les fesses, les coudes et le cuir chevelu. Les ongles fragiles et cassants sont aussi un symptôme. D’autres irritations comme l’eczéma atopique en font également partie.

    6. TDAH: Trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité

    Une autre pathologie qui peut être associée à l’intolérance au gluten est le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité. Le TDAH peut autant survenir chez les enfants que chez les adultes. Les personnes atteintes de ce trouble ont des problèmes de concentration et de maîtrise de soi. Un régime sans gluten peut aider à réduire leurs symptômes.

    7. Dents en mauvais état

    En cas d’intolérance au gluten, l’absorption des nutriments et minéraux nécessaires dans l’intestin est affectée. Ceci est valable également pour le calcium. Le résultat peut être un problème de dents et de la cavité buccale : hypersensibilité de l’émail dentaire, caries et ulcères au niveau des muqueuses. Si tu prends bien soin de ta bouche, mais que tu remarques que certains problèmes persistent, la cause pourrait être la consommation de gluten.

    8. Anémie à cause du manque de fer

    a maladie coeliaque est souvent diagnostiquée à cause de l’anémie ferriprive. Les symptômes comprennent une diminution du volume sanguin, de la fatigue, des essoufflements, des maux de tête, une peau pâle, une inflammation des muqueuses et même de l’arthrite. Le fer est très mal digéré puisque l’allergie au gluten provoque un disfonctionnement lors de l’absorption dans l’intestin.

    9. Maladies auto-immunes

    De nombreuses personnes atteintes de maladies auto-immunes ont des antécédents d’intolérance au gluten. La maladie coeliaque est une maladie dans laquelle le système immunitaire attaque ses propres cellules intestinales après l’entrée du gluten dans cet organe. Le problème est aggravé par le fait que ce syndrome augmente le risque de développer d’autres maladies auto-immunes, telles que la thyroïdite de Hashimoto, l’hépatite auto-immune, la maladie de Crohn, le diabète, le vitiligo, l’arthrite rhumatoïde et la sclérose en plaques.

    Comment agir face à l’intolérance au gluten?

    1. Fais un test. Ton médecin te redirigera vers un allergologue pour faire un test sanguin et dépister lesanticorps qui sont habituellement présents chez les personnes coeliaques. Avant le test, tu devras veiller à inclure du gluten dans ton alimentation, car cela aidera à obtenir des résultats plus fiables.

    2. Élimine le gluten de ton alimentation.

    Il est présent dans :

    • Le blé.
    • Le seigle.
    • Le boulghour.
    • La farine.
    • La semoule ou le blé dur.
    • Et dans beaucoup d’autres aliments.

    Vérifie toujours la composition des produits que tu consommes et n’oublie pas d’acheter de préférence ceux qui ont une étiquette “sans gluten”.


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     je l ai laisser en peut en gros pour mieux  se guider 


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