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    Plusieurs histoires ont fondé le mythe de cette maison : certains y racontaient qu'un homme se serait pendu, d'autres disaient qu'après la fin de la guerre des Juifs y auraient étés cachés et assassinés et d’autres histoires encore.

    La maison hantée n’existe plus, une légende s'en est allée, malheureusement elle a été détruite le 12 juin 2012.


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    Le petit village de 5000 habitants est non seulement le plus gros centre touristique de sa région, la Transylvanie, mais aussi de toute la Roumanie. Près de un demi-million de visiteurs s'y rendent chaque année.

    La route, étroite, sinueuse, n'en finit plus de grimper dans les montagnes. Il faut avoir le coeur solide pour supporter l'interminable enchaînement de virages serrés à flanc de falaise.

    Dans l'obscurité, les phares de la voiture éclairent furtivement de modestes fermettes, avant de se perdre dans la forêt transylvanienne. Puis, au détour d'un virage, la silhouette lugubre d'un château se détache dans la brume, perchée sur un rocher de 60 m. Lorsqu'un loup lâche un long hurlement au loin, on pourrait croire qu'il n'existe pas d'endroit plus sinistre.

    L'effet est tellement saisissant que les amateurs de frissons prendront bien soin de ne pas le gâcher en arrivant bêtement à Bran de jour. Ici, c'est de nuit que le voyageur peut s'imprégner pleinement de l'ambiance. Oui, au risque de se répéter: les loups hurlent vraiment à la lune, dans la montagne.

     

    Le petit village de 5000 habitants est non seulement le plus gros centre touristique de sa région, la Transylvanie, mais aussi de toute la Roumanie. Près de un demi-million de visiteurs s'y rendent chaque année. À l'Halloween, les places deviennent rares pour ceux qui veulent assister à la fête haute en couleur organisée sur l'emplacement du château.

    Facile de comprendre pourquoi c'est ici que l'auteur irlandais Bram Stoker a situé l'action de son roman culte Dracula, qui fut pendant longtemps le livre le plus vendu au monde. Stoker n'avait jamais mis les pieds en Roumanie, mais il a fait beaucoup de recherches pour trouver un château approprié à son personnage principal, au tournant du XXe siècle.

    Il s'est inspiré des légendes des vampires et autres variantes de morts-vivants, très ancrées dans les coutumes de la région. Et il a utilisé l'identité d'un vrai héros local: Vlad l'Empaleur, aussi appelé Vlad III Dracula, un noble célèbre pour avoir repoussé l'envahisseur ottoman de façon particulièrement sanguinaire.

    Vlad n'a jamais habité le château de Bran. Mais dans son roman, Stoker imagine qu'il s'y est caché pendant des centaines d'années après sa mort, une fois devenu un vampire.

    Le château de Bran s'est retrouvé lié pour toujours à ce récit. À l'intérieur, l'histoire réelle des lieux, celle du roman et celle du véritable Dracula sont retracées clairement avec des inscriptions en anglais.

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    Dans les dédales du château

    Sur quatre étages, à travers une soixantaine de pièces, les visiteurs peuvent explorer à leur rythme l'impressionnante construction. Le craquement des planchers de bois massif, les vieilles armures et les chandeliers envoûtent le visiteur. Tellement que certains seront incapables de ne pas regarder par-dessus leur épaule, au détour d'un des froids escaliers de pierres, histoire de s'assurer qu'aucun vampire ne suit leurs traces.

    Les passages secrets dissimulés dans les murs, qui permettent de passer discrètement d'une pièce ou d'un étage à l'autre, constituent un des points forts de la visite. Dans le roman, Dracula les utilisait pour s'introduire furtivement chez ses invités et sucer leur sang. Les guides touristiques qui font visiter les lieux aujourd'hui précisent que le tout se faisait "proprement" et "poliment", pendant que les victimes dormaient. Rien à voir avec les films américains où le sang gicle partout.

    Une chambre de torture est accessible aux touristes pour un léger supplément, mais seuls les amateurs d'horreurs sanguinolentes les plus endurcis y trouveront leur compte. Les reliques sont impressionnantes et très bien conservées. Mais l'abondance des instruments imaginés par des esprits tordus et les illustrations des techniques barbares utilisées pour infliger des souffrances au Moyen-Âge risquent de troubler sérieusement les coeurs plus sensibles. Les amateurs du genre semblent malgré tout nombreux à en ressortir ravis.

    Du haut du château, la vue sur le paysage est à couper le souffle: sur les sommets enneigés des Carpates tout autour, sur les paysans qui s'activent dans les champs, sur les coquettes maisons traditionnelles de campagne. Idéal pour saisir d'un coup d'oeil la géographie des lieux et planifier une expédition en forêt, un après-midi de ski ou une excursion à vélo dans les villages avoisinants.

    En quittant le château, il ne reste qu'à flâner dans les nombreuses boutiques de souvenirs et les petits bistrots qui tentent de profiter eux aussi de la mode des vampires. Un petit musée sur la vie des villageois d'antan vaut aussi le détour.

    La campagne des environs a conservé beaucoup de son charme rustique et demeure étonnamment épargnée par le développement massif. Pour l'instant. Car la Fédération des employeurs du tourisme et des services de Roumanie prévoit des investissements majeurs dans le coin. Le but est d'attirer une clientèle plus large que les fanatiques des vampires.

    «La Transylvanie peut finalement devenir une destination touristique de renommée internationale avec des bénéfices immenses non seulement pour le tourisme de la région, mais pour notre économie en général. La marque "Dracula" existe depuis longtemps, nous devons seulement l'exploiter et l'envelopper adéquatement pour la vendre de façon moderne», précise un communiqué récent de l'organisme.

    Amourette canadienne au château

    Dès qu'un Canadien se présente au château de Bran, les guides touristiques s'agitent. Ils adorent raconter l'histoire d'amour qu'y aurait vécue leur ancienne reine Marie (1875-1938) avec un Canadien. Une histoire de romance à l'eau de rose qui peut intéresser ceux qui n'ont que faire du comte Dracula.

    La reine Marie est la plus populaire des souveraines qu'a connues le pays. Elle a habité le château pendant plusieurs années. Des meubles richement ornementés, des instruments de cuisine et des tenues de son époque y sont d'ailleurs exposés aujourd'hui.

    Vers la fin de la Première Guerre mondiale, la souveraine aurait entretenu une relation passionnée avec l'attaché militaire des puissances alliées en Roumanie: un Canadien nommé Joe Boyle, spécialiste des missions clandestines en territoire ennemi.

    Boyle est devenu un héros en Roumanie pour avoir sauvé 50 notables roumains détenus par des révolutionnaires et pour avoir aidé le pays à obtenir un prêt de 25 millions du gouvernement canadien. Il s'était vu attribuer le titre de «Sauveur de la Roumanie».

    Plusieurs spécialistes croient que la reine accueillait son amant au château pour de longs échanges qui n'avaient toutefois rien de très politique. Les passages secrets qui mènent aux chambres auraient prouvé toute leur utilité lors de ces nuits interdites.

     

    À la mort de Boyle, une inconnue en noir venait chaque année au Canada pour fleurir sa tombe. Après la mort de la reine Marie en 1938, la mystérieuse femme n'est plus jamais apparue.Comment s'y rendre?

    > En voiture: Bran est à 160 km de la capitale Bucarest. En voiture, par la route nationale DN1, puis le chemin des montagnes DN73, le trajet prend 2h30 min.

    > En train: La gare la plus proche du château est à Brasov. Trajet de 3h30 min, au coût de 13$, à partir de Bucarest. Ensuite, des autobus partent aux 30 minutes vers Bran.

     


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    13, place du 11 Novembre, Bresles(Oise):

    Après avoir emménagé dans leur nouvelle demeure en novembre 2011, Alain et Maryline Langlois ont rapidement constaté des phénomènes paranormaux.

    Ils racontent par exemple qu'ils étaient réveillés toutes les nuits par des bruits violents en dessous de leur lit et qu'ils sentaient parfois quelque chose de froid caressaient leurs bras.

    Selon les experts qui sont venus explorer la maison, il s'agirait du fantôme d'une fillette de six ans environ, aperçue à plusieurs reprises dans le grenier. Heureusement, suite à un exorcisme, la présence se serait faite plus discrète.


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  • Il y a un siècle, on a décrit des faits étranges dans un moulin auvergnat : des filles traînées au sol par une force invisible, des meubles qui se déplaçaient tout seuls...

    Novembre 1902, à Saint-Front en Haute-Loire. Il est quinze heures, trois agriculteurs s'enfoncent dans la neige en revenant du marché de Laussonne. Soudain, des pleurs et des cris de terreur résonnent au-dessus des gorges de l'Aubépin, la rivière locale.

    Les plaintes viennent du moulin d'Etienne Joubert, seule habitation dans ce paysage sauvage. Les trois hommes se précipitent. Marie, la femme du meunier, se trouve sur le seuil, affolée. « Au secours ! » crie-t-elle. Derrière elle, dans la cuisine, se produit un spectacle hallucinant, selon les trois agriculteurs qui le raconteront à la presse.

    Forces invisibles

    Les deux filles du meunier - l'une a 12 ans, l'autre 14 - hurlent au milieu d'une terrible agitation, les yeux révulsés : elles semblent projetées et traînées au sol par une force invisible. « Quelqu'un nous pousse ! » Autour d'elles, la vaisselle  « vole en éclats, les meubles se renversent »  comme par magie. Dans l'étable voisine, les vaches meuglent et se débattent, étrangement recouvertes par des draps blancs.

    Masson, l'un des agriculteurs, a toutes les peines à maîtriser l'une des filles, qui lui échappe des bras. Un sabot de l'adolescente est projeté contre une fenêtre et brise un carreau. L'instant d'après, une autre vitre se fracasse, touchée par une pierre qui vient cette fois de l'extérieur. Masson ramasse le projectile : il est  « brûlant ». Pour seules explications, la femme du meunier susurre, terrifiée : « C'est la Marie ». Marie Exbrayat, la vraie mère des deux filles, morte huit ans plus tôt. L'une des adolescentes affirme qu'elle a vu son fantôme, la veille.

    Des pas dans le grenier

    Le moulin, hanté ? L'affaire fait le tour de la région. Les jours suivants, on compte une centaine de badauds qui osent dormir à côté de la bâtisse pour assister à ces phénomènes. Mais ils doivent s'enfuir sous la pluie d'objets qui leur tombent dessus pendant trois jours : pierres, sabots, savon...

    En décembre, on appelle à l'aide un prêtre exorciste mais rien n'y fait. Au réveillon, les fillettes sont de nouveau tirées par des « forces invisibles ». Les bougies s'éteignent toutes seules. On croit entendre des bruits de pas dans le grenier qui, demeure pourtant vide chaque fois qu'on ouvre sa porte.

    Le moulin retrouve sa tranquillité en 1903. Précisément, lorsque les deux fillettes quittent la région, sous les regards accusateurs. On les appelle alors... les filles du diable ! Elles rejoignent Paris où elles finiront leur vie.

    Superstition

    La réputation du moulin demeure encore ancrée dans la mémoire collective. Même s'il n'en reste que des ruines aujourd'hui. Il n'y a même plus de chemin pour s'y rendre. Son propriétaire actuel ne connaissait pas la légende : il l'a apprise seulement après la signature du contrat... Et dans les années 80, la superstition a refait surface lorsqu'un moniteur d'escalade a été blessé sur le site, après qu'une pierre lui soit tombée sur la tête.Les théories pour expliquer ce mystère ne manquent pas. Au-delà du paranormal, certains habitants ont accusé le meunier lui-même : il aurait été un joueur de cartes criblé de dettes à qui on demandait de vendre son moulin. Le poltergeist lui aurait alors permis de rendre sa demeure invendable...

    Il reste une autre piste : celle des fillettes. Car pour la plupart des scientifiques, derrière les histoires de maisons hantées, il y a souvent des canulars montés par des adolescent(e)s perturbé(e)s qui cherchent à attirer l'attention. C'est la théorie de la "vilaine petite fille" formulée au XIXe siècle par Franck Podmore, membre de la Société Britannique Psychique Anglaise.

    Peut-être, alors, le moulin diabolique n'était-il qu'un endroit où deux enfants souffraient avec fracas et fureur parce qu'elles avaient perdu leur mère

    https://www.activiteparanormale.com/pages/histoires-de-lieux-hantes/auvergne-l-etrange-affaire-des-filles-du-diable.html


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  • http://www.topito.com/top-lieux-hantes-france-attention-fantome-mechant

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    Le Château de Fougeret (Vienne)
    Situé à Queaux, le Château de Fougeret, racheté et rénové il y a peu, est totalement ouvert au public. Public qui a d'ailleurs tendance à s'y presser depuis que plusieurs visiteurs ont affirmé y avoir croisé des fantômes. Pour les propriétaires, il n'y a aucun doute sur le fait que leur demeure est hantée : "Des personnages aux fenêtres sur les photos alors que le château est vide et que nous sommes tous dehors, des sensations d’être enlacés, des chaises qui bougent, des odeurs de nourritures avec les bruits d’une famille qui déjeune dans le salon, mon chien qui joue avec un autre chien invisible, une femme en robe rouge qui est apparue deux fois près de la cheminée, telle est la vie à Fougeret. Il ne faut pas s’offusquer ou se moquer" racontent-ils en effet.

    Les jardins du Petit Trianon à Versailles (Yvelines)
    10 août 1901, Eleanor Jourdain et Anne Moberly se baladent dans les jardins du château de Versailles à la recherche du Petit Trianon, quand elles se sentent toutes les deux oppressées sans savoir pourquoi. Elles croisent alors toute une série de personnages vêtus étrangement, dont une femme ressemblant à Marie-Antoinette. Étonnées de cette expérience, elles en reparlent quelques jours plus tard, et constatent qu'elles n'ont pas vu les mêmes personnes, mais surtout que les bâtiments qu'elles ont vus n'existent plus. Tout ce petit monde était donc assez clairement des fantômes. Eleanor et Anne écriront un livre sur cette expérience surnaturelle que le corps scientifique ne parviendra jamais à expliquer.

     

     

     

     

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    Les jardins du Petit Trianon à Versailles (Yvelines)
    10 août 1901, Eleanor Jourdain et Anne Moberly se baladent dans les jardins du château de Versailles à la recherche du Petit Trianon, quand elles se sentent toutes les deux oppressées sans savoir pourquoi. Elles croisent alors toute une série de personnages vêtus étrangement, dont une femme ressemblant à Marie-Antoinette. Étonnées de cette expérience, elles en reparlent quelques jours plus tard, et constatent qu'elles n'ont pas vu les mêmes personnes, mais surtout que les bâtiments qu'elles ont vus n'existent plus. Tout ce petit monde était donc assez clairement des fantômes. Eleanor et Anne écriront un livre sur cette expérience surnaturelle que le corps scientifique ne parviendra jamais à expliquer.

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    Le château de Veauce (Allier)
    Construit au XIe siècle, ce château classé au titre des monuments historiques s'est révélé être hanté dans les années 80. Son propriétaire de l'époque raconte alors qu'il fait régulièrement la rencontre, au détour d'un couloir, du fantôme de Lucie. Pour la petite histoire, Lucie était la domestique du Baron Guy de Daillon, propriétaire des lieux dans les années 1560. Ce dernier, séduit par la beauté de la jeune fille ne cessait de lui courir après, ce qui avait le don de sérieusement courir sur le haricot de sa femme, la baronne Jacqueline de La Fayette. Un jour que son époux infidèle était parti guerroyer, la douce baronne jeta Lucie au cachot et la laissa mourir de froid et de faim. Lucie, qui depuis l'a quand même un peu mauvaise, fait donc de temps à autre des petites apparitions histoire de foutre les boules à ceux qui ont le malheur de venir la déranger.

     

     

     


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