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    Situé à Ohio City au 43ème et Franklin, est l'une des maisons les plus fascinantes et les plus hantées de Cleveland.

     

    La structure gothique de grès de quatre étages a été construite à la fin des années 1880 par l'épicerie et l'exécutif bancaire, Hannes Tiedemann.

     

    La maison comprenait trente chambres, dont une salle de bal qui couvrait tout le troisième étage. L'histoire de la maison est triste et inquiétante. Peu de temps après la mort de la famille Tiedemann, la mère de sa mère et Mme Tiedemann sont mortes.

     

    Pour distraire sa femme, Tiedemann a remodelé la maison et on a répété que plusieurs passages secrets ont été ajoutés à cette époque. Avant la mort de M. Tiedemann en 1908, toute sa famille, y compris ses petits-fils, était morte. La maison appartenait par la suite à un brasseur allemand, au parti socialiste allemand (les rumeurs étaient nazis et à surveiller le lac Érié de la maison) et à plusieurs familles de Cleveland.

     

     

     

    Hannes tiedemann house

     

     

    Des événements étranges ont touché tous les habitants. Les voix, les jeux d'orgue, les luminaires tremblants et les apparitions ont tous été signalés. En 1975, le propriétaire à l'époque a cherché les passages secrets ... et a trouvé plus qu'il ne l'a cherché. Il a découvert un squelette humain, jugé très ancien par le coroner. Aujourd'hui, Franklin Castle a un nouveau propriétaire qui dit qu'il va restaurer le manoir à sa gloire d'origine et l'utiliser comme résidence. Surveillez cet endroit.


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  • L’ANCIENNE BOULANGERIE

    Les Hommes sont regroupés et répartis dans six lieux différents : granges, cours, remises, où ils sont mitraillés, puis les corps sont recouverts de fagots et de bottes de paille auxquels les SS mettent le feu. Selon quelques rescapés, les SS tirent bas et dans les jambes de leurs victimes ; le feu est allumé sur des hommes blessés mais encore vivants. La déclaration d’un rescapé établit qu’ils parlaient encore ; certains, légèrement blessés, ont pu s’échapper, la plupart des autres ont certainement été brûlés vifs.

    Les Femmes et les Enfants sont emmenés et enfermés dans l’église du village. Des soldats placent dans la nef, près du chœur, une sorte de caisse assez volumineuse de laquelle dépassent des cordons qu’ils laissent trainer sur le sol. Ces cordons ayant été allumés, le feu se communique à l’engin, qui contient un gaz asphyxiant (c’était la solution prévue) et explose par erreur ; une fumée noire, épaisse et suffocante se dégage. Une fusillade éclate dans l’église ; puis de la paille, des fagots, des chaises sont jetés pêle-mêle sur les corps qui gisent sur les dalles.

    Les  âmes tourmentées d’Oradour-Sur-Glane (87)

    LES RUINES DE L’ÉGLISE

     

    Les SS y mettent ensuite le feu. La chaleur était tellement forte qu’à l’entrée de cette église on peut voir les restes de la cloche, fondue et écrasée sur le sol. Des débris de 1,20 m de haut, recouvraient les corps.
    Une seule femme survit au carnage : Marguerite Rouffanche, née Thurmeaux. Son témoignage constitue tout ce qu’il est possible de savoir du drame. Elle a perdu dans la tuerie son mari, son fils, ses deux filles et son petit-fils âgé de sept mois…

    Le chœur de l’église comprenant trois ouvertures, dans un instinct de survie, Mme Rouffanche se dirigea vers la plus grande, celle du milieu et à l’aide d’un escabeau qui servait à allumer les cierges, elle parvint à l’atteindre. Le vitrail étant brisé, elle se jeta par l’ouverture. Après un saut de trois mètres, elle atterrit au pied de l’église sur un fourré et fut blessée par un SS en fuyant vers un jardin voisin. Dissimulée parmi des rangs de petits pois, elle ne fut délivrée que le lendemain vers 17 heures.

    Mais il y a eu d’autres massacres, car ce jour-ci, les SS ne s’arrêteront pas là. Ils inspectent de nouveau les maisons du village, et ils y tuent tous les habitants qui avaient pu échapper à leurs premières recherches, en particulier ceux que leur état physique avait empêchés de se rendre sur le lieu du rassemblement. C’est ainsi que les équipes de secours trouveront dans diverses habitations les corps brûlés de quelques vieillards impotents.

    Un envoyé spécial des F.F.I (Forces Françaises Intérieures), présent à Oradour dans les tout premiers jours après la tuerie, indique qu’on a recueilli, dans le four d’un boulanger, les restes calcinés de cinq personnes : le père, la mère et leurs trois enfants.

    Un puits renfermant de nombreux cadavres est découvert dans une ferme : trop décomposés pour être identifiés, ils seront laissés sur place.

    Au total, 642 personnes ont été massacrées lors de cette journée…

    Voici un témoignage de la fin de la tuerie et de l’acharnement des Allemands :

    Après 18 heures, un ingénieur des chemins de fer, Jean Pallier, arrive en camion en vue du village. Il raconte : « Au sommet d’une côte, nous avons pu apercevoir le village qui n’était plus qu’un immense brasier ». Il est arrêté avec ses compagnons de voyage à trois cents mètres de l’entrée du village et autorisé à rester sur place après une fouille rigoureuse.

    Il est ensuite rejoint par les passagers du tramway parti de Limoges (habitants de Oradour ou personnes s’y rendant). En tentant de rejoindre le village à travers champs, J. Pallier constate que la localité est complètement cernée par un cordon de troupes en armes. Le groupe d’une quinzaine de personnes est arrêté vers 20 heures, et après plusieurs vérifications d’identité, relâché avec ordre de s’éloigner du village. Un Sous-Officier parlant correctement le français, déclara aux membres de la petite troupe : « Vous pouvez dire que vous avez de la chance, le massacre est terminé ».

    Le 11, puis le 12 juin, des groupes de SS reviennent à Oradour pour enterrer les cadavres et rendre leur identification impossible…

    Les  âmes tourmentées d’Oradour-Sur-Glane (87)

    LA PEUGEOT 202 DU MÉDECIN, AU MILIEU DES RUINES

    La petite cité est aujourd’hui divisée en deux entités, dont le « Centre de la Mémoire » constitue en quelque sorte le trait d’union : l’ancien village, conservé à l’état de ruine, qui témoigne des souffrances infligées aux hommes, femmes et enfants de cette petite bourgade, et le nouveau village, reconstruit quelques centaines de mètres plus loin.

    Ce lieu restera pour toujours très marqué et chargé d’Histoire, mais il restera également très riche en émotions. Beaucoup d’âmes tourmentées y resteront prisonnières à jamais. Notre équipe n’est pas insensible à ces horribles crimes, à la douleur des familles des victimes, mais aussi aux souffrances de ceux qui sont tombés pour la France. C’est donc tout naturellement que nous nous rendrons un jour sur les lieux, afin de rendre hommage aux victimes, mais aussi pour tenter de délivrer les âmes en peine…

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    Aujourd’hui, je vais vous parler d’Oradour sur Glane, une ville terriblement marquée par l’Histoire. Située dans le département de la Haute Vienne, et plus précisément dans la région limousine, son nom restera malheureusement attaché au massacre d’une partie de sa population par une division SS Allemande, le 10 juin 1944.

    Ce jour sera inscrit à jamais dans les mémoires, après l’arrivée de la troupe Allemande, le garde champêtre est allé voir les habitants afin qu’ils se rassemblent, sans aucune exception et sans délai, sur la place du Champ de Foire, située à l’intérieur du village, munis de leurs papiers, pour une vérification d’identité. 

    Les SS pénètrent dans toutes les maisons, et, sous la menace de leurs armes, obligent tout le monde, même les malades, à se rendre sur le lieu de rassemblement. Un à un ou par groupes, conduits et surveillés par les SS, les villageois se massent peu à peu sur le Champ de Foire. 

    Les Allemands ne se cantonnent pas aux habitants d’Oradour, ils vont aussi chercher des habitants des hameaux voisins. Les cultivateurs doivent abandonner leurs travaux en cours. Plusieurs personnes qui n’obéissent pas aux ordres sont abattues sans pitié. Les Allemands divisent alors la population en deux groupes : d’un côté les femmes et les enfants, de l’autre les hommes.

    Les  âmes tourmentées d’Oradour-Sur-Glane (87)

     


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    Une des histoires les plus célèbre en matière de maison hantée est celle du presbytère de Borley, probablement la demeure la plus hantée au monde d’après le récit qui suit :
    Le presbytère de Borley à été construit en 1863 sur les restes d’un prieuré cistercien, ou bénédictin, par un révérend du nom d’Henry Bull. 

    Ce prieuré aurait été construit ,quant à lui, en 1362. La légende raconte qu’un jeune moine et une future none seraient tombés amoureux l’un de l’autre .

    En cherchant à s’enfuir, ils furent rattrapés dans le chariot qu’ils utilisaient pour quitter la ville. Ces derniers furent condamnés à mort de façon atroce : elle à être emmurée vivante dans la crypte et lui à être pendu…C’était ,sans doute, les premières personnes à mourir mais malheureusement il y en eut encore beaucoup d’autres après.

    Fin 1930, le presbytère est acheté par le révérend Lionel Foyter, sa femme et leur fille adoptive. Ils n’y restèrent que 5 ans… Sa femme, Marianne, raconta qu’elle avait été témoin de plusieurs manifestations surnaturelles.

    Elle aurait surtout vu apparaître des écritures sur les murs des différentes pièces, sur du papier, comme venu de nul part. Le révérend raconta que lorsque la cloche sonnait, on pouvait voir apparaître le révérend Henry Bull. Des livres, des objets, des verres apparaissaient de nul part et tombaient sur le sol ou bien était comme lancés à travers les pièces. 

    Après avoir tenté un exorcisme, sa femme Marianne, fut projetée hors du lit plusieurs fois… Au vu des ces phénomènes, plus personne ne voulu loger dans ce lieu. Sauf un certain Harry Price, chasseur de fantôme renommé. Il s’y installa avec un groupe d’enquêteurs pendant plusieurs semaines. 

    Ce dernier affirma avoir vu de nombreuses manifestations paranormales. Certaines personnes doutaient de la bonne foie de Mr Harry Price et remettaient en cause la véracité de ses propos lors de son occupation au presbytère soit disant » hanté » de Borley.

    Quelques temps après, la famille Gregson s’installa dans l’ancienne demeure, sachant la réputation qu’elle avait. Le jeune fils du Capitaine William Gregson ainsi que son frère Anthony furent les derniers témoins de l’activité paranormale avant l’incendie. En 1939 dans la nuit du 27 au 29 février le prieuré pris feu, et l’on découvrit dans la cave un squelette, certainement celui de la none qui fut emmurée plusieurs siècles auparavant…

    Leurs discours furent semblables à celui de Mr Harry Price. En effet, selon eux, on pouvait y voir des poltergeists, des portes arrachés, des pierres se déplacer seules, des meubles se déplacer et tournoyer dans le vide. En 1955 une célèbre photo fut prise par un journaliste de Life montrant une pierre se déplacer toute seule. Aujourd’hui, certains racontent que l’on peut parfois entendre un chariot se déplacer dans le parc avec les chevaux, peut être celui des deux jeunes amoureux qui furent condamnés plus tôt. De nombreux témoins affirment avoir vu, et entendu des choses très étranges sur ce lieu


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    Le château est situé sur un éperon rocheux à la jonction des petites et Grandes Uses. Au Moyen Âge, passage à gué obligé sur la route reliant Genève à Chambéry, ce qui amenait des revenus liés aux péages. C’est une forteresse qui maîtrisa pendant plus de 4 siècles cette importante voie de communication.

    Il dépendait de l’ancien comté de Genève jusqu'au début du 15ème siècle (1401) puis du comté de Savoie.

    Le château de Sallenôves est l'un des rares châteaux considéré comme hanté en Haute-Savoie. Une salle appelée " la chambre du Diable " serait hantée par un spectre est décrit comme un cheval armé, caparaçonné, écumant qui disparaissait au dernier coup de minuit.

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