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    https://www.youtube.com/watch?v=YcBG0AjSlhc


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    la Saint-Sylvestre ! le 31 décembre !
    Sylvestre, Saint-Sylvestre ou même Sylvestre 1er, était un Romain, également connu pour avoir été le 33ᵉ pape de la Chrétienté. Il est également à l’origine de nombreuses basiliques romaines. Saint-Sylvestre vécut à la même époque que l’empereur Constantin, qui fut le premier empereur romain à se convertir au Christianisme. Selon une légende médiévale, c’est Saint-Sylvestre lui-même qui aurait guéri l’empereur Constantin d’une lèpre incurable, en le baptisant. Face à ce miracle, l’empereur se serait alors converti sur-le-champ au Christianisme. Saint-Sylvestre aurait d’ailleurs accompli bien d’autres prouesses : la légende raconte qu’il aurait terrassé un dragon et ressuscité un taureau !
    Saint-Sylvestre aura vécu très longtemps, en restant pape pendant près de 22 ans. Il dirige l’Église à une époque tumultueuse, et ne quitte son rôle qu’au moment de sa mort, survenant le 31 décembre
    335. Preuve de son succès : à sa disparition, Saint-Sylvestre se fait canoniser, sans avoir été martyrisé au préalable (c’était l’usage, à l’époque.)
    Ce qui est sûr, c’est que le 31 décembre n’a pas toujours été le dernier jour de l’année, sauf pour les Romains. On constate sur le calendrier julien (créé en 45 avant J.-C.) que le 31 décembre marquait déjà à l’époque la fin de l’année dans la Rome antique.
    En revanche, c’était loin d’être le cas pour toutes les civilisations ! À Lyon, le dernier jour de l’année était le 25 décembre, et le 25 mars à Vienne, par exemple. Ce n’est qu’en 1564, avec l’édit de Charles IX, que le 31 décembre est proclamé “dernier jour de l’an” en France.
    Pourquoi Saint-Sylvestre est-il associé au 31 décembre ?
    On l’aura donc compris : Saint-Sylvestre était un personnage illustre. Mais cela n’explique pas l’origine du réveillon, ni même pourquoi la Saint-Sylvestre marque la fin de l’année. À cette question, peu de réponses vraiment tranchées, jusqu’à aujourd’hui !
    Il semblerait que les célébrations du Nouvel An soient tout droit venues de la Rome antique, sans toutefois avoir un quelconque lien avec l’époque de Constantin et de Saint-Sylvestre ! En effet, bien avant l’ère de Jésus-Christ, les Romains avaient déjà pour habitude de célébrer la fête des sigillaires clôturant les Saturnales – des festivités rendant hommage au Dieu Saturne, ayant lieu une semaine avant le solstice d’hiver.
    À cette époque-là, le 31 décembre est déjà proclamé “dernier jour de l’année” par Jules César. Le but de ces fêtes étant de se réunir autour de festins conviviaux pour célébrer la fin de l’année. Cela rappelle… nos fêtes actuelles, oui oui !
    Empire Romain, l’hommage à Janus
    Si chaque nouvelle année est synonyme d’espoir et de nouveau départ, ce n’est pas dû au hasard ! Nous devons, encore une fois, ces croyances à la Rome antique. Le mot “janvier” viendrait lui-même du latin “Janus”, en référence au Dieu romain symbolisant les commencements et les fins. Également appelé “Dieu des portes” ou de la “transition”, Janus aurait été doté de deux têtes, lui permettant de voir devant et derrière lui.
    Que l’on soit à Paris, à Londres ou à New-York, les festivités du réveillon se ressemblent toujours un peu. À minuit, moment fatidique où l’on passe au 1er janvier, on n’a plus qu’un seul mot d’ordre : hurler la bonne année, sortir manifester sa joie, à grands coups de klaxons, de feux d’artifice…
    Saviez-vous que cette tradition existe, en réalité, depuis presque toujours ? Même à l’époque romaine, la coutume était de sortir, à chaque réveillon, pour accueillir la nouvelle année avec fracas. Casseroles, instruments de musique… Tout était bon pour entamer la nouvelle année en fanfare ! L’objectif de cette démarche ? Chasser les mauvais esprits de l’année achevée, pour accueillir la nouvelle dans de bonnes conditions. Un poil superstitieux, mais efficace, si la coutume a perduré jusqu’à nos jours !

    la Saint-Sylvestre ! le 31 décembre !

     

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  • Un « océan » gigantesque à 640 km sous la surface de la Terre

     

     

     

    Retrouvé sous une couche de roches à plus de 640 kilomètres sous la surface de la Terre un réservoir qui contient 3 fois plus d’eau que tous les océans réunis.

    On vous explique tout sur cette découverte époustouflante qui pourrait permettre aux scientifiques d’en savoir plus sur l’origine de l’eau sur Terre.

    Des scientifiques travaillant à l’université Northwestern , aux Etats-Unis, ont apporté les preuves qu’il existait une immense quantité d’eau sous terre. Ce réservoir est emprisonné dans une cavité composée d’une roche sous haute pression nommée ringwoodite . Grâce à cette découverte, les chercheurs espèrent expliquer comment les océans se sont formés sur notre planète.

     

    L’équipe, dirigée par le minéralogiste Steven Jacobsen , a utilisé un ensemble de 2000 sismographes pour étudier la façon dont les ondes sismiques générées par les tremblements de terre bougeaient à travers l’intérieur de la Terre.

     

    La vitesse de ces vagues a changé en fonction des roches à travers lesquelles elles passent, et la ringwoodite mouillée a un effet particulier sur ces ondes. Steven a reproduit la même expérience dans son laboratoire et est arrivé à cette conclusion édifiante : la ringwoodite, lorsqu’elle est maintenue sous une extrême chaleur et pression, comme dans le manteau terrestre, « transpire de l’eau ». Celle-ci serait ensuite piégée dans une zone de transition, entre 320 et 640 kilomètres de profondeur

    Un « océan » gigantesque à 640 km sous la surface de la Terre

     

     

     

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    Et si l’eau sur Terre provenait d’un gigantesque réservoir souterrain ?

    C’est en tout cas ce que pense l’équipe de chercheurs, après avoir découvert cet océan. Les scientifiques espèrent d’ailleurs que cela leur permettra de mieux comprendre le cycle de l’eau sur Terre mais aussi comment la tectonique des plaques déplace l’eau entre la surface et ce réservoir.

    Ce mystérieux réservoir est en réalité dissimulé au cœur d’une roche bleue, connue sous le nom de ringwoodite, à 700 km de profondeur dans le manteau terrestre, c’est-à-dire la couche de roches brûlantes située entre la surface de la Terre et son noyau. La taille impressionnante du réservoir, trois fois le volume des océans de la planète, pourrait permettre d’en savoir un peu plus sur l’origine de l’eau sur Terre.

    En effet, certains géologues estiment que l’eau est arrivée sur Terre suite à l’impact de comètes.

    Mais cette découverte vient plutôt apporter du crédit à une autre théorie selon laquelle les océans ont progressivement suinté de l’intérieur de la Terre. « C’est une preuve tangible que l’eau sur Terre est venue de l’intérieur », estime Steven Jacobsen, de la Northwestern University dans l’Illinois, et auteur principal de l’étude. Selon lui, cette eau cachée pourrait également servir à maintenir les océans, en restant d’une certaine manière connectée à eux. Cela expliquerait ainsi pourquoi leur taille n’a pratiquement pas changé depuis des millions d’années.

    Le parcours des ondes sismiques révèle la présence d’eau. L’équipe de Steven Jacobsen a utilisé pas moins de 2 000 sismographes à travers les États-Unis afin d’étudier les ondes sismiques générées par plus de 500 tremblements de terre.

     

    Ces ondes se déplacent à l’intérieur de la Terre, y compris dans le noyau. Toutefois, elles peuvent être largement détectées à la surface. « Après un séisme, les ondes font sonner la Terre comme une cloche pendant plusieurs jours », précise Steven Jacobsen, repris par le New Scientist. En mesurant la vitesse de ces ondes, en fonction de la profondeur, les chercheurs ont pu déterminer quel type de roches elles traversaient.

    Un « océan » gigantesque à 640 km sous la surface de la Terre

     

     

     

    https://www.espritsciencemetaphysiques.com/un-ocean-gigantesque-decouvert-640-km-sous-la-surface-de-la-terre.html?fbclid=IwAR1mAp78MP5O_OpLiMO_saAmHPxnRbMOdwc8kReeuSuj-b884ei7rz80vmQ


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    Le tatouage berbère est un rite de femme préislamique, le tatouage au henné l’a remplacé avec l’arrivée de cette religion qui l’a interdit le considérant comme un acte de mutilation corporelle. Les femmes berbères considéraient qu’elles représentaient la Terre chez les humains, aussi, tous leurs gestes et pratiques quotidiens (jardinage, cuisine, poterie, grossesse, enfantement etc.) étaient calquées sur les cycles de la Terre et de la Lune. Chaque femme apprenait de sa mère (dont le lien était précieux), qu’elles étaient les représentantes de la Vie et de la Mort sur Terre. La culture berbère est précieuse pour les femmes qui souhaitent révéler leur magie. Les tatouages pouvaient avoir pour fonction de :
    - marquer l’appartenance à un groupe social ;
    - préserver la femme de la maladie ou du mauvais œil ;
    - protéger une zone du corps ;
    - attirer la fertilité considérée dans son sens universel (procréation, créativité, abondance..) ;
    - sublimer la beauté de la femme.
    En Kabylie, le tatouage se pratiquait de façon ritualisée et se faisait au cours de séances collectives. Les tatoueuses scarifiaient la peau au moyen d’une épine de cactus ou de rose en suivant les contours du dessin préalablement tracé à la suie. Le sang était asséché avec un chiffon trempé dans la suie. Les jours suivant la tatouée prenait soin de son tatouage : après l’avoir lavé à l’eau et au savon elle l’enduisait de « tizeggzawt » (mélange de feuilles de fèves, de blé et de morille noire « tucanin » pilés), puis d’indigo pilé et enfin pour le rendre indélébile avec les cendres d’un chiffon bleu trempé dans de l’huile. Bien qu’il existe une base de symboles (le triangle, le losange…), celle-ci était adaptée par chaque femme. Il faut savoir que l’enseignement chez ces femmes était uniquement oral et inspiré de leurs propres perceptions. Aussi, il n’existe pas véritablement de dictionnaire de symbole et le même symbole pouvait donc représenter une chose différente d’une femme à l’autre…. »
     

    Le tatouage berbère ........

     
     
     
     
     

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    En seulement 100 ans d'histoire, l'Empire inca s'est étendu sur environ 4 000 kilomètres. Cet empire comprenait les états actuels de l’Equateur, du Pérou, de la Bolivie et du Chili. Il existe un paradoxe concernant les peuples d’Amérique du Sud. Férus d’astronomie et possédant des connaissances avancées dans de nombreux domaines, nous avons du mal à comprendre certaines de leurs coutumes barbares.
    Les sacrifices d’enfants, d'hommes et de femmes étaient monnaie courante sous le règne des fils du Soleil. L’Amérique du Sud est le lieu de naissance de la momification. Les chercheurs ont mis au jour de nombreuses tombes qui nous ont permis de mieux comprendre les rites funéraires.
     
    L’enfant de la montagne de Plomb
    Le1er février 1954, deux mineurs gravissent la pente escarpée et enneigée d'une montagne. Ce pic de 5 400 m d'altitude s'appelle El Plomo (la montagne de Plomb). Il est situé dans la province de Santiago du Chili. Les deux hommes ont presque atteint le sommet lorsqu'ils découvrent un curieux enclos de forme elliptique, de 6 m de long sur 3 m de large, entouré d'un mur d'à peine 1 m de haut et comblé de pierres et de terre.
    Sous 1 m de pierrailles et de terre, ils découvrent, au centre de l'enclos, une grande pierre plate, qu'après bien des efforts ils font pivoter sur son axe. Là, se révèle un bien étrange spectacle dans une tombe de 1 m de profondeur, un jeune enfant semble dormir, les yeux clos, les jambes ramenées sous lui, les bras enserrant les genoux, la tête inclinée posée sur son bras.
    Autour de lui, deux statuettes en argent et en coquillage, deux petites figurines dont la forme rappelle celle des lamas et une série de petits sacs de peau contenant des cheveux, des morceaux d'ongles et des feuilles de cola, veillent sur son dernier sommeil.
    Ce jeune garçon de 8 ou 9 ans veille sur la montagne de Plomb depuis environ 5 siècles.
    Or le corps est absolument intact, tendre et flexible comme si la mort venait de le toucher !
     
    Qui était le petit Inca et quelles furent les circonstances de sa mort ?
    L'analyse du corps révéla que plusieurs phalanges de la main gauche gelèrent 24 à 48 heures avant la mort. Des bribes de vêtements sur les avant-bras et les mains témoignent aussi des efforts de l'enfant pour recouvrir ses parties du corps restées nues. Le petit garçon de la montagne de Plomb fut enterré vivant.
    Pour comprendre ce qui a poussé un peuple à commettre une telle abomination, nous devons nous pencher sur l'histoire de ce peuple étrange.
     

     Sacrifices rituels

     

     

    Mythes et légendes Précolombiennes


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