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Par Edelvess le 10 Décembre 2019 à 12:08
Les Dieux oubliés.....
Dans le Livre du jour, mieux connu sous le nom de Livre des morts, il y a le papyrus d'Ani, qui est l'une des rares sources égyptiennes que nous avons encore représentant le dieu Hare-Moon, où dans le chapitre deux, il est dit:
"Je suis le dieu de la lune Yah parmi les dieux, je n'échoue pas."
Il y a des similitudes entre Yah et le dieu Akkadian Moon Sin, car ils étaient tous deux des personnifications de la sagesse et du monde souterrain, mais il y a aussi des différences.
Il y a peu de sources de telles choses concernant les Dieux de la Lune d'Égypte parce qu'elles ont été délibérément modifiées ou détruites, mais vous pouvez toujours le voir dans quelques noms de rois comme Yah-hotep (Yah est content) et Yah-mose (Yah est né). Ahmose I (Amosis to the Grecs) a reçu le nom de naissance Ah-mose (The Moon is Born). Son nom jeté était Neb-pehty-re (Le Seigneur de la force est Re).
La plupart des gens ne connaissent rien de la mythologie du péché, ni de la profondeur et de l'étendue du culte de la Lune.
La plupart des gens pensent que ça a toujours été le Soleil, ce qui en vérité est une évolution plus récente quand on considère la durée dans le temps comme un repère....Même les Égyptiens ont été confondus avec le culte du Soleil , grâce à Akhenaton alors qu'en réalité c'était un culte "sol'ar" qui avait très peu à voir avec le Soleil tel que nous le comprenons et le connaissons aujourd'hui.
En fait, dans l' ancien monde le Soleil n'était pas du tout adoré...
il ne faisait même pas partie des dieux triples ou quadruples adorés.
On croyait en fait que la Lune et son épouse avaient donné naissance au Soleil, mais même alors, il n'était pas vénéré comme beaucoup peuvent le penser, pas dans le contexte culteral d'aujourd'hui.
Je m'apprends à traduire le script sumérien, akkadien et hittitie depuis de nombreuses années maintenant, ce qui est une tâche intimidante qui ne finira peut-être jamais, mais c'est quelque chose que j'aime vraiment, cela m'a ouvert les yeux sur tant de choses( que l'histoire moderne n'a pas compris, et que même dans les livres anciens elles étaient mal compris et traduit)que j'aurais jamais imaginé ou pensé auparavant, sans la linguistique.
La traduction des textes anciens à été toujours censuré, car personne ne peut vérifier ( très peu des gens savent lire les anciens langues mortes, et qu'ils s'en souviennent)Lais je suis plus fasciné par la mythologie du péché que tout autre mythe car c'est ce que je considère comme un véritable mythe d'origine.
Je crois que le péché sumérien est à l'origine du péché dans la Bible, mais pris complètement hors de son contexte, bien sûr, pour représenter le mal, car quelle meilleure façon de débarrasser le monde de ses origines que de renverser littéralement .....le sens des mots.
Ils ont fait la même chose avec Vénus, quand en fait Vénus a repris un dieu encore plus ancien, un dieu mâle et femelle des eaux primordiales.
Ils ont fusionné les dieux ensemble, ce qui a rendu difficile pour la plupart de trouver des vérités originales.
Donc, Ishtar, Astarté ou Ashtoreth sont censés être les origines de Vénus, le dieu de l'amour et de la guerre, mais je ne pense pas que cela soit vrai, mais plutôt une fusion de dieux, qui a finalement subsumé le dieu des eaux prémordiales, qui était aussi la lune.
C'est mon opinion basée sur mes propres recherches de toute façon.
La Lune, le feu, les eaux primordiales, ainsi que la foudre, la végétation, le ciel et les dieux des montagnes étaient les plus vénérés dans les temps anciens, mais la lune était vénérée au niveau cosmique et solitaire.L'aspect masculin de la Lune était en fait le dieu de la fertilité d'origine, ce qui est étrange car c'était un dieu masculin, mais il était censé être celui qui a imprégné toutes les femmes de la terre en nous donnant nos périodes mensuelles de lune.
Je crois que c'est la raison exacte, mais très cachée, pour laquelle il est dit que des dieux géants ont imprégné les femmes de la terre, et ils ont donné naissance aux Nephilim également traduits comme "tombés", mais je crois personnellement que "tombé" est un malentendu ou une mauvaise traduction être tombé de la grâce ou de la chute de l'homme, de la chute de Lucifer etc ... alors qu'en fait, je pense qu'il devrait être "tombé dans le monde souterrain, imprégné par la lumière intérieure de la lune, de lumière et de sagesse primordiales. ..
Tout comme le supposé dieu solaire Shamash ou le dieu solaire sumérien Utu, qui étaient à l'origine des "dieux solaires", mais pas des dieux solaires comme nous le comprenons aujourd'hui.
L'ancien dieu Dragan / soleil était en fait le dragon / dieu du feu, mais au fil du temps, il a également été englouti par le soleil.
Ce feu originel provenait du pilier et était un aspect des rayons du soleil réfractant la lumière vers, puis depuis la lune.
Quand je pense aux dieux solaires, je pense aux disques solaires, l'énergie solaire étant transmise aux humains depuis le cosmos.
Qui mieux que la Lune pour agir comme un émetteur de rayons cosmiques stellaires. Comme un miroir, réfractant la brillance différente des couleurs, plantant sa graine et nous influençant tous ici sur terre.
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Par Edelvess le 10 Décembre 2019 à 12:05
À quoi correspond la couleur des vêtements liturgiques ?
« Pourquoi, à la messe, le prêtre est tantôt en vert, tantôt en violet ou une autre couleur ?»
La couleur des vêtements sacerdotaux et des ornements servant au culte varie en fonction du calendrier liturgique. Cet usage, formalisé à l’origine par le futur pape Innocent III († 1216) dans son traité De sacro altaris mysterio, nous permet ainsi de nous situer au premier coup d’œil. À condition toutefois de connaître la signification des couleurs employées ! Petit tour des couleurs reconnues par la liturgie romaine :
Le blanc, symbole d’innocence, de pureté et de sainteté, est la couleur de la lumière de Dieu. Le blanc est porté pour les grandes fêtes liturgiques de l’année comme Noël, l’Epiphanie, le Jeudi Saint, les veillées pascales, Pâques, l’Ascension, l’Assomption, la Toussaint et les fêtes des saints non martyrs (sauf la nativité de saint Jean-Baptiste, les fêtes de saint Pierre et saint Paul apôtres, de saint Jean l’évangéliste, la conversion de saint Paul et la chaire de saint Pierre apôtre), les fêtes du Christ Roi, du Saint-Sacrement et du Sacré-Cœur, le Baptême du Seigneur, l’Annonciation, la Sainte Trinité, la Transfiguration du Seigneur … C’est aussi la couleur du baptême et du mariage.
Le rouge, couleur de l’Amour, du sang et du feu de l’Esprit, habille le dimanche des Rameaux, le Vendredi saint, la Pentecôte, la fête de tous les saints martyrs et la fête de la Croix glorieuse. Il peut également se porter à l’occasion des confirmations et des ordinations.
Le vert, symbole de l’espérance, évoque aussi la nature, création de Dieu. On l’emploie durant le Temps Ordinaire (per annum), réparti sur deux périodes : du lendemain de la fête du baptême du Seigneur au mardi gras inclus puis du lendemain de la Pentecôte à la veille du premier dimanche de l’Avent.Le violet, couleur du pardon, de l’attente et de la pénitence, est porté pendant les temps de l’Avent et du Carême. Il est aussi utilisé pour le sacrement de réconciliation et remplace le noir (symbole de la mort par opposition au blanc, de la captivité et des ténèbres) employé autrefois pour les offices et les messes des défunts.
Aux côtés de ces couleurs principales, on trouve également :
Le rose : mélange de rouge (symbole de l’amour divin) et de blanc (couleur de la fête), ou violet (couleur de la pénitence) adouci, le rose est porté deux fois par an et annonce la joie de Noël le troisième dimanche de l’Avent (dit Gaudete) et celle de Pâques le quatrième dimanche de Carême (dit Laetare).
L’or, couleur de la lumière précieuse et de la royauté du Christ, peut être utilisé pour les jours solennels et festifs, particulièrement Pâques et Noël, les sommets liturgiques de l’année. Le jaune, s’il n’est pas assimilé à la couleur or, n’est pas employé.
L’argent peut servir pour le blanc.
Le bleu ciel, est utilisé pour les fêtes de la Vierge Marie.
Le gris cendré est typique du rite lyonnais où il est porté pendant le Carême, les jours de semaine.
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Par Edelvess le 15 Novembre 2019 à 11:03
Prière à Dieu Tout-Puissant
Seigneur me voici à genoux devant vous,
vous suplliant pour tous mes péchés
que j’ai commis en pensée, en paroles,
par action et par ommission
soit en vous offensant,
en offensant mes prochains ou moi-même.Seigneur Dieu Tout-Puissant
soyez toujours à mes côtés,
que votre lumière me parvienne,
moi qui suis un pécheur
que votre lumière m’ouvre les yeux
aux merveilles du monde à venir,
les mains à la charité.
Seigneur ma foi est faible,
augmentez ma foi,
rendez ma foi certaine et inébranlable.Gloire à vous Dieu de Bonté
Gloire à vous Dieu de Miséricorde
Gloire à vous Dieu trois fois SaintQue votre règne arrive en ce monde,
Que votre volonté soit faite
Que les hommes reconnaissent Jésus comme sauveur,
celui qui a effacé nos péchés
Faites nous connaître notre mission sur cette terre
Que votre grâce atteigne ceux qui vous aiment
Et votre miséricorde ceux qui vous dédaignent
Donnez aux malades la guérison
aux prisonniers la liberté
aux victimes la vie éternelle
aux affamés le pain de vieFaites cultiver en nous l’amour, la foi et la charité.
A vous Dieu soit la gloire,
la puissance et le règne dans les siècles des siècles
Par Jésus-Christ, l’agneau offert en sacrifice Suprême
Amen.
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Par Edelvess le 4 Novembre 2019 à 14:41
Originaire de l’état du Bihar, au nord-est de l’Inde, le festival ‘Chhath Puja’ célèbre et remercie Surya et Usha, le dieu-soleil et la déesse de l’aube, sources de vie et d’énergie primordiale. Cet hommage au soleil intervient juste après la fête des lumières (Diwali) en Octobre-Novembre et est l’occasion de rituels élaborés remontant à l’Inde ancienne.
Origines du Chhath Puja
« Surya est l’âme, à la fois des êtres mobiles et immobiles” (Rigvéda)
On pense que la cérémonie du Chhath date de l’époque védique, c’est à dire entre 3500 et 1500 ans avant notre ère ; le Rigvéda, un des quatre livres fondateurs de l’hindouisme contient des hymnes dédiés à la vénération du soleil.
On raconte aussi que les Rishis (les anciens sages indiens, patriarches du védisme) étaient capables de fournir l’énergie nécessaire au corps directement à partir des rayons du soleil et pouvaient ainsi s’abstenir de nourriture.
Certains lient le rituel du Chhath au dieu Rama et son épouse Sita car ont dit qu’ils observèrent un jeûne et effectuèrent un rituel au dieu soleil pour le remercier de leur retour dans leur royaume d’Ayodhya, après 14 ans d’exil. Dès lors le Chhath Puja devint une fête traditionnelle et significative de la religion hindoue et commença à être célébrée chaque année dans la patrie de Sita, l’état actuel de Janakpur, et dans les états indiens voisins comme le Bihar.
Surya et Chhathi Maiya
Surya est le dieu soleil de l’hindouisme, c’est le créateur de l’univers matériel (Prakriti). Dans la mythologie hindoue, il est le père de Manu, le premier homme sur terre et le législateur de l’humanité, mais aussi de Yama, le dieu de la mort et de Yami qui deviendra, après sa mort, la rivière Yamuna, un des sept fleuves sacrés de l’hindouisme.
Le dieu soleil est généralement représenté tenant une fleur de lotus dans deux mains, debout sur un chariot tiré par sept chevaux.
L’importance du culte au dieu soleil s’illustre dans de nombreux festivals indiens comme Uttarayan (quand le soleil se dirige vers le nord) ou Pongal (la fête des moissons). Il s’exprime aussi au travers de la pratique du yoga : la salutation au soleil (Surya Namaskar) qui consiste en 12 différentes postures est une technique de gratitude envers le soleil.
Les souverains indiens soucieux de pérenniser le culte à Surya, ont fait bâtir des sanctuaires majestueux dédiés à la divinité solaire : les temples de Modhera au Gujarat et de Konark dans l’Odisha en sont les meilleurs exemples. Ces merveilles architecturales ont été conçues de manière scientifique pour que, lors des solstices, les premiers rayons du soleil tombent directement sur l’idole de Surya.
Le rituel du Chhath est non seulement dédié à Surya mais aussi à son épouse connue sous le nom de Chhathi Maiya ou Usha
Usha signifie littéralement ‘le premier rayon de soleil du matin’ ; symboliquement, Usha est l’aube de la conscience divine pour l’aspirant spirituel. Usha est vénérée le dernier jour du festival Chhath (voir ci-dessous).
Un festival d’austérités
Les rituels du festival sont rigoureux : tout commence par un nettoyage scrupuleux de la maison avant le début des rituels. Les adeptes jeûnent du matin jusqu’au soir en s’abstinant certains jours d’eau. Le rituel demande de rester debout dans l’eau pendant de longues heures, d’effectuer des offrandes de nourriture ainsi que des prières au soleil levant et couchant. Certains fidèles effectuent également des prosternations en directions des berges de la rivière. Pendant cette période, l’adorateur doit rester pur ; il dort sur le sol séparé de son conjoint ou conjointe.
Les offrandes de nourriture incluent des sucreries, des thekuas (biscuits traditionnels du Bihar), de la canne à sucre, des fruits, des radis blancs, du kheer (riz au lait), le tout disposé dans des dauris, des paniers plats ouverts en bambous. La nourriture est strictement végétarienne et cuisinée sans sel, oignon ou ail.
Déroulement du Chhath Puja
Le festival se tient pendant quatre jours en octobre-novembre mais aussi en mars-avril (Chaitra Shasthi) après Holi, le festival des couleurs. Il est principalement célébré dans l’état du Bihar mais aussi au Jharkhand, Uttar Pradesh, Chhattisgarh et dans certains états du nord-ouest de l’Inde comme le Gujarat ou le Rajasthan.
Les fidèles se rassemblent sur les rives d’une rivière sacrée (préférablement le Gange) ou sinon d’un autre point d’eau et font leurs offrandes au soleil.
Le culte vise à remercier le soleil pour ses bienfaits mais est aussi censé aider à guérir une variété de maladies ainsi qu’à prier pour la longévité et la prospérité des membres de la famille.
Les ‘adorateurs’, appelés ‘Parvaitin’ (du sanscrit ‘parv’ qui signifie festival), sont majoritairement des ‘adoratrices’ car en Inde ce sont généralement les femmes qui jeûnent et prient pour le bien-être de leur famille. Les dames portent de beaux saris colorés et apposent un long trait orange vertical du front jusqu’à la pointe du nez. Ce tilak symbolise Surya. Les hommes se contentent de vêtements blancs.
1er jour : Nahay Khay
Le premier jour du Chhath Puja, les adeptes prennent un bain dans la rivière sacrée et ramènent à la maison l’eau bénite pour préparer les offrandes. Les femmes observent un jeûne appelé ‘vratin’ qui consiste à ne prendre qu’un seul repas dans la journée.
2ème jour : Kharna ou Kheer-roti
Le deuxième jour du Chhath Puja, les adeptes observent un jeûne pendant toute la journée. En soirée, après avoir fait des offrandes à la lune montante, ils rompent le jeûne avec du kheer (riz au lait indien) et des chapatis (pain plat indien).
3ème jour : Sandhya Arghya (offrandes du soir)
Cette journée est le point d’orgue des festivités. Les dévots observent un ‘nirjal vrat’ c’est à dire un jeûne avec abstinence d’eau. Ils préparent des paniers d’offrandes (arghya) et se rendent sur les rives du fleuve au coucher du soleil pour les offrir à Surya.
4ème jour : Usha Arghya (offrandes du matin)
Le dernier jour du Chhath Puja, les fidèles, avec leur famille et leurs amis, se rendent au bord de la rivière avant le lever du soleil, afin de faire des offrandes (arghya) au soleil levant. Le soleil levant dissipe les ténèbres et symbolise l’émergence de la connaissance et de la vie.
Le festival se termine avec la rupture du jeûne par les vratins. Les amis, les parents visitent les maisons des dévots pour recevoir la ‘prasad’ (nourriture bénite).
RESPECT
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