• Un réseau de tunnels secret des Templiers décou­vert sous la ville d’Acre en Israël

     

     

    Située dans le nord de l’Is­raël, la ville d’Acre possède une histoire d’une grande richesse. Selon Natio­nal Geogra­phic le 16 octobre dernier, une équipe d’ar­chéo­logues, menée par Albert Lin, a décou­vert un réseau de tunnels enfoui sous la ville, qui aurait été construit par les Templiers il y a 800 ans afin de faire passer discrè­te­ment leur trésor dans le poste de garde. Après avoir notam­ment permis de révé­­­ler l’exis­­­tence d’une cité perdue au Mexique, le LiDAR a une fois de plus fait parler de lui.

    En effet, dans le cadre de « Lost Cities », une nouvelle série docu­men­taire de la chaîne Natio­nal Geogra­phic, l’équipe d’Al­bert Lin a utilisé le LiDAR, une tech­nique de « détec­­­tion et esti­­­ma­­­tion de la distance par la lumière », qui leur a permis d’ef­fec­tuer un balayage aérien d’une zone du port d’Acre afin de produire des cartes 3D précises. C’est ainsi qu’ils ont trouvé les tunnels, cachés sous la ville moderne.

    Ordre reli­gieux et mili­taire du Moyen-Âge, l’ordre du Temple a été fondé au XIIe siècle pour défendre les pèle­rins sur le chemin de Jéru­sa­lem. Pour finan­cer leurs voyages, les Templiers ont accu­mulé et géré des fonds impor­tants, et ils ont joué les banquiers auprès de souve­rains impliqués tout entiers dans les Croi­sades. De nombreuses légendes entourent les Templiers, c’est pourquoi ils sont encore et toujours étudiés à ce jour. Selon les cher­cheurs·euses, un trésor des Templiers pour­rait bien être enterré quelque part dans les souter­rains d’Acre…

    Un réseau de tunnels secret des Templiers décou­vert sous la ville d’Acre en Israël

     

     

     

     

    https://www.ulyces.co/news/un-reseau-de-tunnels-secret-des-templiers-decouvert-sous-la-ville-dacre-en-israel/?fbclid=IwAR0HmsGTQaKEjTm6x2QJzHwW4ZLrve-QIQdLbgzYFVUjVIevgSZ8M_P4LEo


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    Classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, Sigirîya ou encore Simhagîri, rocher du lion, est un site archéologique majeur et ancienne capitale royale du Sri Lanka.
    Pour l'histoire, il y a 1500 ans, Kassyapa tua son père en l'emmurant vivant, pour lui voler le trône qui aurait dû revenir à son frère ainé, Mogallana, qui évidemment pour éviter d'être emmuré lui aussi, fut contraint à l'exil, en Inde.
    Kassyapa avait le pouvoir, mais il craignait tout de même le retour de son frère, c'est pourquoi il quitta avec son armée la capitale royale Anurâdhapura, pour s'établir plus au sud ici, sur le rocher de Sigirîya, où il fit bâtir sa forteresse qui était également un véritable palais !
    Aujourd'hui, c'est l'un des sites les plus visités du pays.
     
     

     

    le rocher du lion

    le rocher du lion

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    Connaissez-vous l’arbre Ished ?
    C’est sous l'influence des prêtres d'Héliopolis que le mythe de l'arbre sacré ished s'est diffusé dans les villes saintes d’Egypte. L’arbre ished est une métaphore de l'horizon oriental ; c'est-à-dire le lieu où, à l'aube, se lève le Soleil, jeune et régénéré, après son voyage nocturne dans le monde souterrain. En tant que symbole de la régénération de l'astre solaire vieillissant, il a été associé aux festivités jubilaires du Heb-Sed.
    À partir du Nouvel Empire dans de multiples scènes du couronnement on peut voir Thot ou Séchat qui inscrivent le nom du roi sur les feuilles de l'arbre sacré d'Héliopolis. Par ce moyen, les dieux promettent à Pharaon une infinité d'années de vie et des millions de fêtes jubilaires. Ce dernier est soit debout ou agenouillé devant l'arbre sacré.
    Selon Champollion, la réplique sur terre de l'arbre ished est le persea (avocatier). Néanmoins, cette interprétation est désormais abandonnée, au profit du balanite ou dattier du désert. Ici Thot écrit sur ses feuilles le nom de Ramsès II la durée de son règne lors du couronnement.

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    https://www.youtube.com/watch?v=ZGTy_XrtTIw


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  • Mondialisation : les leçons de l'histoire pour comprendre comment tout a commencé

     

     

     

    C’est en Europe que se cristallisent les progrès techniques et scientifiques qui lui donnent les moyens de partir à la conquête du monde. Les techniques navales se perfectionnent, la cartographie progresse. La terre n’est plus plate… De la soif de connaissance et de l’esprit d’exploration, naissent les ambitions et les appétits de puissance.

    Concurrence européenne

    Au XVe siècle, la fermeture de la route de la soie pousse les Européens à explorer de nouvelles routes vers l’Asie : celles de l’Ouest par l’Atlantique et celle de l’Est en contournant l’Afrique. La première mondialisation est à la fois le fruit de la volonté de christianiser, de connaître, d’assurer la puissance du prince et de la nation, mais aussi, et surtout, de se procurer des richesses : une véritable concurrence oppose les États européens.

    Les compagnies : le monopole du commerce

    Une fois la géographie connue et la domination de l’Amérique assurée, place au business. Alors que dans un premier temps, ce sont des explorateurs, des capitaines et des aventuriers comme Cortes ou Drake qui ont pris pied dans les nouveaux mondes, à partir du XVIIe siècle s’ouvre l’ère des grandes compagnies de navigation qui incarnent la naissance d’un capitalisme marchand. Les Anglais et les Hollandais inventent le nouveau modèle.

    En 1600, à Londres, est fondée The Company of Merchants of London Trading into the East Indies puis, en 1602 à Amsterdam, la Vereenigde Oostindische Compagnie, qui devient la première grande société par actions de l’histoire. En 1664, Colbert est à l’origine de la Compagnie française pour le commerce des Indes orientales.

    Ces compagnies bénéficient de chartes qui leur accordent le monopole du commerce entre la métropole et les comptoirs ou colonies qu’elles contrôlent et mettent en valeur grâce à la traite négrière. Les comptoirs et territoires contrôlés sont mis en valeur au profit des métropoles : protectionnistes, elles cherchent à accumuler les métaux précieux en exploitant leurs colonies.

    C’est ce qui explique le développement des économies minières et de plantation agricole qui, dès le XVIe siècle, utilisent des esclaves achetés sur les côtes du golfe de Guinée. Le XVIIIe siècle marque l’apogée du commerce triangulaire atlantique qui fait la fortune de Londres, Liverpool, Nantes ou Bordeaux.

    La rivalité franco-anglaise sur l’Atlantique prend fin avec les guerres révolutionnaires et napoléoniennes. Le champ est désormais libre pour la domination anglaise.

    L'essor du libre-échange

    Grâce à son empire colonial, l’Angleterre a pu alimenter son industrie cotonnière, moteur de la première révolution industrielle avec le charbon et le fer. La puissance de sa marine ("Britannia Rules the Waves") lui assure le contrôle du monde.

    À partir des années 1830-1840, la richesse ne vient plus de l’importation et de la réexportation des produits tropicaux et des matières premières, mais de l’exportation de produits manufacturés et du placement des capitaux. Londres est la première place de courtage des matières premières et la City contrôle les flux mondiaux de capitaux.

    L’Angleterre se convertit au libre-échange lorsqu’elle abolit les réglementations du commerce des céréales (Corn Laws) en 1846 alors que ses rivaux moins avancés restent protectionnistes, hormis pendant une courte période de traités comme celui de 1860 entre la France et l’Angleterre. L’industrie et la finance supplantent l’impérialisme traditionnel. Les Européens achèvent la conquête du monde : l’Afrique, l’Asie sont presque entièrement colonisées.

    Premières ruptures dans le commerce international

    Les capitaux européens, en particulier anglais et français, financent les développements des late comers que sont les États-Unis et la Russie. Même si le cadre est protectionniste, les échanges augmentent. La Première Guerre mondiale met un terme à la domination européenne, mais l’interdépendance économique nouvelle est prouvée dans la douleur par la grande crise de 1929 : partie des États-Unis, elle touche toutes les régions du monde.

    La Grande Guerre, puis la crise des années 1930, désorganisent le commerce international et stoppent son élan. Entre 1929 et 1932, celui-ci recule des trois quarts. Il faut attendre les années 1950 pour que sa croissance dépasse à nouveau celle de la production.

     

    Mondialisation : les leçons de l'histoire pour comprendre comment tout a commencé

     

     

     

     

    https://www.pourleco.com/les-bases/retro-eco/mondialisation-comment-tout-commence?utm_source=fb&utm_medium=cpc&utm_campaign=FB_IG_TR_Profs%20%2F%20Grands%20parents&utm_content=FB_IG_TR_Professeurs%202%20FB_IG_TR_Mondialisation&fbclid=IwAR16iO8yx0CKaJe2Oc4hMxLHpmoV2UgRMhUmLPVrMtK1zB1SurlvjcKVSLs

     


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