• LES ANGES, PRÉSENTS POUR SOULAGER NOS DOULEURS

     

     

     

     

    LES ANGES, PRÉSENTS POUR SOULAGER NOS DOULEURS !
    (Journal d'un malade qui s'ignorait...)

    Pour celles et ceux qui souffrent profondément dans leur chair et/ou dont la vie est menacée, il existe une issue. Je le sais, je l'ai vécu...

    « Il était une fois un homme dans la fleur de l'âge, comme on dit. Cet homme se croyait à l'abri des maladies ou des accidents de santé. C'est vrai qu'il faisait tout ce qu'il pouvait pour cela. Il s'enorgueillissait de ne jamais avoir fait connaître à ses poumons le poison d'une "sucette à cancer" (une cigarette), de ne pas boire d'alcool, de pratiquer une activité sportive intense et régulière depuis sa plus tendre enfance et de s'alimenter en nourriture bio quasiment non carnée. Bref, le schéma de l'hygiène la plus parfaite possible.

    Seulement, voilà qu'un jour, à la lueur d'un test anodin pour tout homme passé la cinquantaine, celui de la prostate, une tumeur tout-à-fait anormale est détectée "par hasard" lors d'une échographie abdominale sur un de ses deux reins. Comment est-elle arrivée là ? C'est un mystère pour tous les professionnels de santé (radiologue, médecin traitant, chirurgien urologue...) D'autant que cette tumeur est particulière : impossible de la désolidariser du rein sur lequel elle est profondément greffée. Il faudra tout retirer !

    Pourquoi "par hasard", me direz-vous peut-être ? Et bien parce que son médecin traitant n'était pas pour une telle investigation prostatique. À partir du moment où vous ne vous levez pas la nuit pour uriner, que vos urines sont claires et que vous n'avez aucune douleur, un tel examen est jugé totalement inutile. Dieu merci, il a un ange terrestre qui veille sur lui depuis bientôt vingt ans en la bienveillante présence d'une épouse amoureuse comme au premier jour. Elle a... pressenti qu'il fallait faire des examens dans cette zone. Aujourd'hui, il le sait : elle lui a sauvé la vie !

    Une fois le diagnostic posé, tout va basculer pour lui. Il ne sait pas encore qu'il ne sera non seulement plus le même dans sa chair, mais qu'il sera aussi profondément touché par la puissance des "Entités Spirituelles", comme il les appellera.

    L'acte chirurgical nécessaire est posé : "néphrectomie totale du rein gauche par cœlioscopie robotique". Un sacré engin de plusieurs millions d'euros, ce robot. Pour celles et ceux qui ont malheureusement dû connaître le parcours d'une anesthésie générale, la suite est classique. Balade dans les couloirs, allongé, poussé par un sympathique brancardier (souvenir d'un homme chaleureux, aux paroles réconfortantes, pleines de douceur, qui font du bien), jusqu'à un bout de couloir où il va devoir patienter un long moment avec d'autres "allongés" (souvenir d'un échange de paroles avec une vieille dame qui devait se faire poser une prothèse au genou). Ensuite, c'est parti pour la salle d'opération. À peine le temps d'observer l'agitation du personnel qui l'entoure qu'on lui pose un masque.

    Il émerge en salle de réveil dans un état semi-comateux. On lui dit que tout s'est bien passé mais il apprendra un peu plus tard que l'opération aura duré 6h au lieu de 3 à 4h maxi habituellement, du fait d'adhérences imprévues.

    Première nuit passée, morcelée à coups d'anti-douleurs. Normal lui dit-on. Ce qui l'est moins, c'est quand le chirurgien, inquiet, le renvoie passer un scanner. À son retour, il lui fait comprendre que sa tension anormalement basse (et son cœur victime de tachycardie, il le saura plus tard), nécessite une seconde opération en urgence. Le temps de faire prévenir son épouse qui est sensée lui rendre visite (la perspective de l'imaginer trouver chambre vide en arrivant lui est insupportable). Il aura cette fois le temps de prier un "Je vous salue Marie" avant de sombrer. Et c'est reparti pour 1h30 de recherche de "fuite interne". Dieu merci, il y en aura peu.

    Il se retrouve avec drain, sonde urinaire, perfusions, une légion de douleurs, et apprend qu'il l'a échappé belle. Et c'est là que son chemin va croiser le surnaturel.

    Il faut savoir que chaque nuit qui passera ensuite (il y en aura quatre en soins intensifs sur sept) sera rythmée par un cortège quasi ininterrompu de douleurs. La morphine et les calmants aident à passer quelques petites heures mais les nuits demeurent interminables, passées à demeurer systématiquement sur le dos, position terriblement inconfortable à long terme.

    Désespéré de parvenir à fermer un œil de la nuit, il va prier comme il ne l'a jamais fait. Épuisé, il va finir par invoquer les Anges, ces Entités Célestes, de l'aider à s'endormir. Et le miracle va se produire : contre toute attente, il va être littéralement "débranché", une copie conforme des deux anesthésies générales précédentes !
    Et le miracle va se reproduire chaque nuit, après chaque invocation : Dingue !!!
    Il pourra jurer par la suite que s'endormir naturellement de son propre chef, perclus de douleurs, est impossible.

    La veille de son dernier jour, une intense et inédite douleur au niveau de l'estomac le réveille en pleine nuit. Il sait qu'il doit sortir le lendemain, que son épouse bien-aimée est aux anges à l'idée de le ramener à la Maison et il crève littéralement de trouille à l'idée que tout soit remis en question à cause de complications. Donc, il prendra le risque de ne pas alerter l'équipe de nuit. Il invoque alors les Entités Célestes de lui venir en aide. De nouveau, il est "débranché"... et se réveille avec une pensée faite de douceur et de certitudes : "Ne t'inquiète pas, tout va bien se passer !"
    Toute sa peur a disparue et a été remplacée par un immense réconfort : In-cro-yable !!!

    Le dernier jour, il a l'idée d'écouter, pour la première fois depuis le début de son séjour, de la musique prise un peu au hasard dans son smartphone. En aléatoire, la première chanson qui résonne dans la chambre est celle de Lara Fabian, "Sans ton amour"...

    Des paroles résonnent merveilleusement alors en lui, l'émeuvent aux larmes telles qu'il les entend : "Sans ton amour, je ne serais pas là" (... "ne serais pas moi" en réalité), "Une ou deux cicatrices...", "J'ai découvert une autre vie, un autre monde...", "J'ai découvert en moi une autre force, une autre joie..."
    Pour lui, ces paroles lui sont destinées, envoyées d'ailleurs. »

    Même si je pense qu'ils peuvent intervenir dans nos quotidiens sans que la situation soit forcément critique ou dramatique, je me demande si la puissance interventionniste des Anges n'est pas proportionnelle au degré de désespoir de la prière qui les invoquent ?... En tout cas, je trouve cela très réconfortant de les savoir bien là, présents à nos côtés, prêts à intervenir en cas de besoin. Alors, aucune hésitation : INVOQUEZ-LES !

     


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