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    https://www.activiteparanormale.com/pages/insolite/decouverte-d-une-exoplanete-a-seulement-6-annees-lumiere-de-la-terre.html?fbclid=IwAR3-u2ba7d3j6j8aWS4FynoWxEkYVg00NF0dquOrpSP2io-O-7hDYnOPqUc

     

    Vue d'artiste représentant une naine rouge peu lumineuse qui s'élève au-dessus du paysage de la planète récemment découverte.

     

    À seulement six années-lumière de la Terre, une planète de glace semble orbiter autour d'une naine rouge peu lumineuse. Si elle existe vraiment, cette exoplanète pourrait en partie réaliser un rêve vieux de plusieurs décennies et devenir l'une des cibles les plus prometteuses des astronomes enthousiastes à l'idée de découvrir les nombreux mondes qui se trouvent hors de notre système solaire.

    La potentielle nouvelle planète, décrite dans la revue Nature ce mercrediorbiterait autour de l’étoile de Barnard, qui est la plus proche de notre soleil. En effet, si le lumineux système Alpha du Centaure est deux années-lumière plus proche et possède sa propre planète, il est lui composé de trois étoiles. Plus vieille que le Soleil, l'étoile de Barnard est environ six fois plus petite que celui-ci. Cette naine rouge, qui n'a été découverte qu'en 1916, est invisible, même avec un bon télescope.

    Liée à la science-fiction depuis longtemps, l’étoile de Barnard est une inspiration pour les astronomes qui suggèrent la présence de planètes en orbite depuis les années 1960, ainsi que pour les auteurs de fiction, qui imaginent des aventures prenant place autour de ce petit point lumineux caché.

    « L'étoile de Barnard est l'une des plus célèbres du ciel », indique Ignasi Ribas de l'Institut espagnol des Sciences de l'Espace. « Les astronomes cherchent des planètes autour de cette étoile depuis toujours. »

    SÛRS À 99 %

    Bien que l'existence des exoplanètes n'ait été confirmée par les scientifiques que dans les années 1990, Peter van de Kamp, un astronome néerlandais, avait rapporté 30 ans plus tôt que deux géantes gazeuses semblaient orbiter autour de l'étoile de Barnard, alimentant un intérêt pour confirmer l'existence de mondes voisins. Mais pour Ignasi Ribas, les planètes de Van de Kamp n'existent sans doute pas : autrement, son équipe aurait repéré des planètes aussi massives lors de leurs plus récentes observations. Toutefois, des planètes plus petites pourraient bien orbiter autour de cette étoile voisine, cachées depuis des décennies en raison de leur taille.

    Même pour les étoiles si proches de nous, détecter des planètes plus petites n'est pas aussi simple qu'orienter son télescope dans la bonne direction. Ainsi, pour certaines techniques comme la recherche de transits planétaires, ce que faisait le prolifique télescope de la NASA Kepler, ce qui pose problème, c'est l'échelle. Les alignements qui nous offrent l'opportunité de repérer les mondes en transit sont relativement rares, mais comme Kepler ne regardait qu'une portion du ciel peuplée de centaines de milliers d'étoiles, il a fini par faire des milliers de découvertes.

    D'autres techniques ne reposent pas sur de tels alignements, mais présentent des limites relatives au type de planètes qu'ils peuvent détecter. Erik Petigura de Caltech souligne que dans la plupart des cas, plus les planètes sont petites, plus la myriade de signaux qui révèlent leur présence devient difficile à extraire.

    En 2016, Ignaci Ribas et ses collègues ont orienté sur l'étoile de Barnard l'instrument CARMENES, installé à l'observatoire espagnol de Calar Alto. Les scientifiques recherchaient de légères oscillations dans le mouvement de l'étoile, preuve qu'une planète en orbite exerçait sur elle une douce attraction. Des jeux de données collectés par six instruments d'observation différents pendant 20 ans avaient déjà suggéré qu'une telle planète pouvait exister. Les données récoltées indiquaient qu'elle effectuait certainement sa révolution en 233 jours terrestres.

    Vue d'artiste des distances relatives séparant notre système solaire de l'étoile de Barnard et du système Alpha Centauri.

    PHOTOGRAPHIE DE GRAPHIC BY IEEC/SCIENCE-WAVE - GUILLEM RAMISA

    Après 300 sessions d'observations supplémentaires, Ignaci Ribas et ses collègues furent satisfaits de découvrir dans le mouvement de l’étoile ces oscillations périodiques de 233 jours.

    « Nous avons désormais près de 800 mesures que nous publions », a indiqué Ignaci Ribas. « Nous avons eu un signal très clair de la présence de la planète, donc nous n’avons aucun doute quant à la périodicité. »

    Mais leur travail n’était pas terminé. Une fois le signal reçu, l’équipe devait exclure les autres sources possibles de cette oscillation, telles que les taches stellaires ou les zones actives, qui pourraient se faire passer pour une planète. Beaucoup de naines rouges produisent de nombreuses éruptions et spasmes, qui, au premier abord, peuvent être confondues avec une planète en orbite. Toutefois, d’après les observations des scientifiques, l’étoile de Barnard est exceptionnellement calme et sage : c’est la raison pour laquelle l’équipe a plutôt confiance en sa découverte.

    « Nous sommes sûrs à 99 % qu’il s’agit d’un signal provenant d’une planète. Mais 99 %, ce n’est pas 100 », a confié Ignaci Ribas. « Et si la planète de l’étoile de Barnard n’est pas vraiment là ? On tirera sur cette théorie de nombreuses fois, les gens essaieront de la démonter, mais la science fonctionne ainsi. »


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    Si le cycle solaire actuel produisait une éruption aussi forte que l'événement de Carrington en 1859, elle pourrait avoir des conséquences s'élevant à des trilliards d'euros et pourrait provoquer des pannes d'électricité longues de plusieurs années.

    Les lumières nocturnes de la côte du Golfe aux Etats-Unis brillent de toutes leurs forces sous la station spatiale internationale en octobre 2010.

     

    Le 14 février 2011 a eu lieu la plus grande éruption solaire observée en quatre ans. Elle était si intense qu’elle a interféré avec les communications radios et les signaux GPS des avions long-courrier.

    Pourtant, en comparaison avec d’autres tempêtes solaires, celle de la Saint-Valentin de 2011 était plutôt modeste. Mais cette explosion d’activité ne fait que marquer le début du prochain maximum solaire, qui atteindra son apogée dans les deux prochaines années.

    « L’activité solaire est cyclique, un peu comme la saison cyclonique », a déclaré plus tôt ce mois-ci Tom Bogdan, directeur du Centre de prédiction météorologique spatiale de Boulder, dans le Colorado, lors d’une réunion de l’Association américaine pour l’avancement des sciences à Washington.

    « Cela faisait quatre ou cinq ans qu’il hibernait, qu’il ne faisait pas grand-chose. » Aujourd’hui, le soleil se réveille, et même si le prochain maximum solaire semble parti pour être l’un des plus faibles jamais observés dans sa globalité, des évènements individuels très intenses pourraient toutefois avoir lieu

    La plus grande tempête solaire jamais enregistrée a eu lieu en 1859 au cours d’un maximum solaire d’à peu près la même intensité que celui dans lequel nous entrons, d’après la NASA.

    Cette tempête a été baptisée l’évènement de Carrington, du nom de l’astronome britannique Richard Carrington qui remarqua les violentes éruptions solaires et fut le premier à faire le lien entre l’activité solaire et les perturbations géomagnétiques sur Terre.

    Au cours de l’évènement de Carrington, des aurores boréales ont été observées jusqu’à Cuba et Honolulu au sud, et des aurores australes jusqu’à Santiago du Chili au nord. 

    Les éruptions étaient si violentes que les « habitants du nord-est des Etats-Unis pouvaient lire leur journal à la seule lumière des aurores », a déclaré Daniel Baker, du Laboratoire de physique atmosphérique et spatiale de l’université du Colorado, lors d’une conférence de géophysique en décembre dernier.

    De plus, les perturbations géomagnétiques furent si intenses que des opérateurs télégraphiques américains signalèrent que leurs équipements produisaient des étincelles, dont les plus violentes causèrent des incendies, souligne Ed Cliver, astrophysicien au Laboratoire de recherche de l’US Air Force à Bedford, dans le Massachussetts.

    En 1859, ces évènements étaient surtout des curiosités. Mais si quelque chose de la sorte arrivait aujourd’hui, les infrastructures de haute technologie du monde entier seraient paralysées.

    « Les plus menacées », a continué Bogdan, du Centre de prédiction météorologique spatiale, « sont les technologies avancées présentes dans presque tous les aspects de notre vie. »

    UNE ÉRUPTION SOLAIRE POURRAIT ROMPRE LE "CYBER-COCON" DE LA TERRE

    Premièrement, a expliqué Baker, de l’université du Colorado, des perturbations électriques aussi intenses que celles qui ont détruit les machines télégraphiques (« l’internet de l’époque ») auraient des conséquences bien plus graves. 

    Une tempête solaire orientée vers la Terre la frappe généralement, mais pas forcément, en trois vagues successives.

    En premier arrive la lumière solaire de haute énergie, composée majoritairement de rayons X et de lumière ultra-violette. Elle ionise la haute atmosphère terrestre et interfère avec les communications radios. Puis, c’est au tour d’une tempête de radiations potentiellement dangereuses pour les astronautes non-protégés.

    Enfin, l’éjection de masse coronale (CME), nuage chargé de particules avançant plus lentement, atteint l’atmosphère terrestre au bout de quelques jours. Lorsqu’une CME frappe la Terre, les particules solaires peuvent interagir avec le champ magnétique terrestre pour produire de puissantes fluctuations électromagnétiques. 

    « Nous vivons dans un ‘cyber-cocon’ qui enveloppe la Terre », a expliqué Baker. « Imaginez quelles pourraient être les conséquences. »

    L’une des préoccupations principales concerne les perturbations du système mondial de positionnement (GPS), omniprésent dans les téléphones portables, les avions et les voitures, a continué Baker. Industrie mondiale d’une valeur de 13 milliards de dollars (11,5 milliards d’euros) en 2003, le GPS devrait atteindre une valeur estimée à un trillion de dollar (1,15 trillion d’euros) en 2017.

    Baker a ajouté que les communications satellites, tout aussi essentielles à de nombreuses activités quotidiennes, seraient menacées par les tempêtes solaires.

    « Lorsque vous payez votre plein d’essence par carte de crédit, c’est une transaction par satellite », a-t-il rappelé.

    Mais la plus grande crainte concerne les dégâts potentiels sur le réseau électrique. En effet, les surtensions provoquées par les particules solaires pourraient endommager les plus gros transformateurs électriques. Cela prendrait beaucoup de temps de remplacer l’un d’entre eux, et encore plus s’ils sont des centaines à avoir été détruits d’un coup, a commenté Baker, co-auteur d’un rapport du Conseil national américain de la recherche sur les risques liés aux tempêtes solaires.

    Cliver, du Laboratoire de recherche de l’US Air Force, le confirme : « On n’en a pas beaucoup de rechange. »

    La moitié est des Etats-Unis est particulièrement vulnérable à cause de l’interconnectivité de ses infrastructures électriques. Des pannes pourraient déclencher une réaction en chaîne, comme un effet domino.

    « Imaginez une grande ville sans électricité pendant une semaine, un mois, ou une année », a déclaré Baker. « Les pertes engendrées pourraient s’élever à 1 voire 2 milliards de dollars (1,15 à 2,30 milliards d’euros), et les répercussions pourraient se faire ressentir pendant plusieurs années. »


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  • https://www.activiteparanormale.com/pages/actualites-hors-paranormal/la-plus-grande-fusion-de-trous-noirs-jamais-detectee-a-fait-trembler-l-espace-temps-jusqu-a-nous.html?fbclid=IwAR381CW99bzsJGmB8zQmd7SAujAuT6tWR7J1Xmj9rIrWR_kStLdMa4wOdEg

     

     

    Le 29 juillet 2017, des scientifiques ont détecté depuis leur laboratoire sur Terre la collision titanesque de deux trous noirs supermassifs, pesant plus de 50 et 34 fois la masse de notre Soleil, à cinq milliards d’années-lumière de notre planète. Ce choc cosmique d’une intensité inimaginable a provoqué une onde de choc si puissante qu’elle a fait des vagues dans l’espace-temps, jusqu’à nous parvenir sous la forme d’un signal si faible qu’il nous faut un instrument scientifique géant d’une sophistication extrême pour le détecter, baptisé VIRGO.

    Samedi 1er décembre, lesdits scientifiques participaient à un atelier sur la physique des ondes gravitationnelles et l’astronomie au College Park, dans le Maryland aux USA, pour présenter ces nouveaux résultats du programme LIGO (Observatoire d’ondes gravitationnelles par interférométrie laser) de la National Science Foundation (NSF) et du détecteur d’ondes gravitationnelles VIRGO, basé en Europe. La BBC s’est faite l’écho de ces découvertes ce 3 décembre.

    La collaboration LIGO-VIRGO a pu détecter « avec confiance » des ondes gravitationnelles issues de dix fusions de trous noirs binaires de masse stellaire et d’une fusion d’étoiles à neutrons. Six des cas de fusion de trous noirs avaient déjà été signalés, et quatre autres ont été annoncés récemment. Du 12 septembre 2015 au 19 janvier 2016, des ondes gravitationnelles provenant de trois fusions de trous noirs binaires ont ainsi été détectées. Le deuxième tour d’observation, qui s’est déroulé du 30 novembre 2016 au 25 août 2017, a été témoin d’une fusion d’étoiles à neutrons binaires et à sept autres fusions de trous noirs binaires, dont les quatre nouveaux événements d’ondes gravitationnelles rapportés aujourd’hui.

    Ces nouveaux événements sont connus sous les noms GW170729, GW170809, GW170818 et GW170823, en référence aux dates auxquelles ils ont été détectés. L’événement GW170729, détecté lors de la deuxième série d’observation, le 29 juillet 2017, est la source d’ondes gravitationnelles la plus massive et la plus éloignée jamais observée. Durant cette fusion, qui s’est produite il y a environ cinq milliards d’années, une énergie équivalente à près de cinq Soleil a été convertie en rayonnement gravitationnel

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    les Couleurs - modulations de la lumière

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    les Couleurs - modulations de la lumière

    Seul peut connaître la puissance de la lumière celui qui a appris à travailler avec les sept couleurs qui sont les composantes de la lumière blanche.

    Nous oublions trop souvent que les couleurs ne sont pas uniquement ces particularités présentées par les objets, qui nous font dire qu'ils sont bleus, jaunes ou rouges, mais des modulations de la lumière.

    À chaque couleur sont liés des esprits qui appartiennent à de puissantes hiérarchies, et il nous est possible de créer par la pensée des faisceaux de lumières colorées dans lesquels des créatures célestes vont et viennent.

    Chaque rayon de couleur est l'expression d'une ou plusieurs vertus ou puissances.

    Au rouge correspondent la vie, l'amour; à l'orange, la santé, la sainteté; au jaune, la sagesse; au vert, l'évolution, l'éternité; au bleu, la vérité, la paix; à l'indigo, la force ; au violet, l'amour spirituel et la toute-puissance divine.

    S'entourer de belles couleurs et se concentrer sur elles est toujours bénéfique; mais pour entrer en relation avec les entités qui les habitent, nous devons apprendre à soutenir ces exercices de concentration par la pratique des vertus correspondantes.

    C'est alors que nous arrivons à rendre les couleurs vivantes en nous et elles nous accompagnent dans nos efforts.

    De même que les couleurs sont des variations de la lumière, de même les vertus sont des variations de la perfection divine qui les contient toutes.

     


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    L'astrologie celtique prétend qu'une personne est capable de déterminer de quel arbre son âme provient en fonction de son anniversaire. Ci-dessous se trouve une liste de leurs dates et de leurs arbres.

    • Du 1er au 11 janvier, le sapin
    • Du 12 au 24 janvier - L'orme
    • Du 25 janvier au 03 février - Le cyprès
    • Du 04 au 08 février - Le peuplier
    • Du 09 au 18 février - Le cèdre
    • Du 19 au 29 février - Le pin
    • Du 1er au 10 mars - Le saule pleureur
    • Du 11 au 20 mars - Le tilleul
    • 21 mars - Le chêne
    • Du 22 au 31 mars - Le noisetier
    • Du 1er au 10 avril - L'arbre de Rowan
    • Du 11 au 20 avril - L'érable
    • Du 21 au 30 avril - Le noyer
    • Du 1er au 14 mai - Le peuplier
    • Du 15 au 24 mai - Le châtaignier
    • Du 25 mai au 03 juin - Le frêne
    • Du 04 au 13 juin - L'arbre à charmes
    • Du 14 au 23 juin - Le figuier
    • 24 juin - Le bouleau
    • Du 25 juin au 04 juillet - Le pommier
    • Du 05 au 14 juillet - Le sapin
    • Du 15 au 25 juillet - L'orme
    • Du 26 juillet auu 4 août - Le cyprès
    • Du 05 au 13 août - Le peuplier
    • Du 14 au 23 août - Le cèdre
    • Du 24 août au 02 septembre - Le pin
    • Du 03 au 12 septembre - Le saule pleureur
    • Du 13 au 22 septembre - Le tilleul
    • 23 septembre - l'olivier
    • Du 24 septembre au 03 octobre - Le noisetier
    • Du 04 au 13 octobre - L'arbre de Rowan
    • Du 14 au 23 octobre - L'érable
    • Du 24 octobre au 11 novembre - Le noyer
    • Du 12 au 21 novembre - Le châtaignier
    • Du 22 novembre au 1er décembre - Le frêne
    • Du 12 au 21 décembre - Le figuier
    • 22 décembre - Le hêtre
    • Du 21 au 31 décembre - Le pommier

     En lisant ce qui suit, tu découvriras ce que chaque arbre dit de ta personnalité et de tes traits de caractère.


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