• https://www.activiteparanormale.com/pages/insolite/la-premiere-photo-du-trou-noir-au-centre-de-notre-galaxie-sera-devoi-lee-au-prin-temps.html?fbclid=IwAR1edy8JiphrSuiPHjLin4ws075e5rj-ES5O2KmSQRbBxjOQZoh2-0q73g0

     

     

    L’image promet d’être « spec­ta­cu­laire ». La première photo du trou noir qui se trouve au cœur de la Voie lactée devrait être montrée au public dès le prin­temps 2019, fait savoir le Guar­dian. C’est le réseau de téles­copes inter­na­tio­nal Event Hori­zon Teles­cope (EHT) qui dévoi­lera cette image histo­rique. « Nous avons réussi à obte­nir des données de très haute qualité, à des réso­lu­tions très impor­tantes, néces­saires à l’ob­ser­va­tion de l’ombre du trou noir, s’il est réel­le­ment là », s’est féli­cité Sera Markoff, de l’uni­ver­sité d’Am­ster­dam.

    D’après le profes­seur Peter Gali­son, qui a parti­cipé à l’en­re­gis­tre­ment des images en 2017, si ce projet est une réus­site, le cliché pour être l’un des plus marquants des 50 dernières années en matière d’as­tro­no­mie. « Si nous parve­nons à extraire une image de toutes ces données, elle devien­dra l’une des photos les plus iconiques du monde de la science », a-t-il ainsi assuré, évoquant un « projet extra­or­di­nai­re­ment ambi­tieux ».

    Le cliché serait d’au­tant plus excep­tion­nel que le trou noir n’a jamais été observé direc­te­ment. Les scien­ti­fiques ont dû relier entre eux entre 15 et 20 téles­copes, afin d’ob­te­nir une réso­lu­tion qui permet­trait d’ob­ser­ver une punaise située à New York, depuis Londres. Une coor­di­na­tion qui repré­sente d’après Peter Gali­son « un immense accom­plis­se­ment en terme de diplo­ma­tie et d’or­ga­ni­sa­tion ».


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    Cela fait plus de 50 ans que nous avons pénétré dans le monde fascinant des quasars quand, en 1963, Maarten Schmidt et John Beverly Oke ont publié dans le journal Nature les résultats des observations qu'ils avaient réalisées en cherchant à déterminer la contrepartie optique d'une source radio puissante. Cette source avait été découverte quelques années auparavant par un autre astronome, Allan Sandage. L'article de Schmidt et Oke fut un coup de tonnerre dans le ciel de l'astrophysique et de la cosmologie, à l'époque, car l'analyse spectrale de l'astre qu'ils avaient identifié dans le visible, dans la constellation de la Vierge, révélait des lignes d'émission de l'hydrogène fortement décalées vers le rouge. Cela signifiait que ce qui apparaissait comme une étoile se situait en dehors de la Voie lactée, mais surtout à une distance cosmologique. Pour être observable d'aussi loin, l'objet devait être d'une luminosité prodigieuse.

    Cette découverte d'une quasi-stellar radio source - un quasar, selon la dénomination proposée en 1964 par l'astrophysicien d'origine chinoise Hong-Yee Chiu - démontrait que l'univers était différent dans le passé, et donc évoluait. Ceci n'était pas possible dans le cadre du modèle cosmologique standard de l'époque, selon lequel, bien qu'en expansion, l'univers devait apparaître inchangé pour tous ses observateurs, quelle que soit leur position dans le temps. En revanche, l'existence de ce quasar - et surtout d'autres rapidement découverts - était en parfait accord avec la théorie du Big Bang. Celle-ci, en effet, prévoyait que si l'on observait des objets à des distances suffisamment grandes, on remontait de plus en plus loin dans le passé et l'histoire d'un univers en évolution. Il était donc normal d'observer à des milliards d'années-lumière un univers dont l'aspect diffère de celui qu'il avait il y a seulement quelques dizaines de millions d'années, donc dans l'environnement proche de la Voie lactée.

    Une vue d'artiste de l'accrétion de la matière sous forme de gaz autour d'un trou noir supermassif de Kerr en rotation. Le gaz s'échauffe et rayonne en tombant. Des jets et des vents de matière peuvent également se produire. Si le flot de matière est suffisamment important, la luminosité devient exceptionnelle et l'on a un quasar.

    Des trous noirs accrétant de la matière qui chauffe et rayonne

    Nous savons aujourd'hui, comme on s'en doutait il y a déjà 50 ans environ, que les quasars sont très probablement des trous noirs supermassifs accrétant de la matière en très grandes quantités. Pour se faire une idée plus concrète de leur luminosité, il suffit de savoir que le premier détecté, s'il se trouvait à 30 années-lumière, c'est-à-dire en gros sept fois la distance de notre étoile àAlpha du Centaure, apparaîtrait aussi brillant que le Soleil.

    Plus que jamais aujourd'hui, les astrophysiciens et les cosmologistes étudient les trous noirs supermassifs et sont donc à la recherche de quasars de plus en plus lointains et donc de plus en plus vieux. Ces véritables balises cosmiques peuvent nous donner de précieux renseignements sur la nature de l'énergienoire et l'évolution des galaxies depuis le Big Bang. On pense par exemple qu'ils ont contribué à la fameuse réionisation de l'Univers observable, de pair avec les premières étoiles en émettant des flots de rayonnement capables d'ioniser les atomes d'hydrogène et d'hélium devenus neutres à la recombinaison, au moment où prend naissance en conséquence le fameux rayonnement fossile.

    C'est ainsi que les héritiers modernes de Maarten Schmidt, John Beverly Oke et Allan Sandage se sont penchés sur une source pouvant prétendre au titre de lointain quasar déjà repéré par plusieurs télescopes dont le Panoramic Survey Telescope and Rapid Response System1 (Pan-STARRS1) à Hawaï et Wide-field Infrared Survey Explorer (Wise) dans l'espace, comme l'explique un article disponible sur arXiv.

    Dans cette animation, on voit le principe d'une lentille gravitationnelle. Les rayons lumineux émis par un astre, ici un quasar, sont déviés en passant au voisinage d'un autre astre – ici une galaxie peu lumineuse – interposé entre le premier objet et un observateur sur Terre. Le quasar J0439+1634 apparaît donc sous forme de plusieurs images dédoublées et plus lumineuses. © ESA/Hubble, L. Calçada

    Un trou noir supermassif de 700 millions de masses solaires

    Baptisée J043947.08+163415.7 ou encore J0439+1634 en plus court, son décalage spectral vers le rouge a été précisé à l'aide d'observations spectroscopiques effectuées avec le Multi-Mirror Telescope en Arizona, l'observatoire Gemini North et l'observatoire Keck à Hawaï. J0439+1634 était bien un quasar mais sa lumière avait parcouru environ 12,8 milliards d'années-lumière pour nous parvenir. Il était plus facilement visible à cette distance grâce à un effet de lentille gravitationnelle produite par le champ de gravitation d'une galaxie située à environ 6 milliards d'années-lumière de la Voie lactée. Déjà très brillant, sa luminosité absolue était multipliée par un facteur de 50 environ, de sorte qu'elle apparaît équivalente à 600.000 milliards de fois celle du Soleil. On n'avait encore jamais trouvé de quasars aussi brillants dans le cosmos observable primitif, un milliard d'années après le Big Bang tout au plus.

    C'est le pouvoir de résolution exceptionnelle du télescope Hubble qui a permis de voir que J0439+1634 était en fait au départ, pour les premiers instruments qui l'ont observé, une combinaison de la lumière produite par le quasar et la galaxie à l'origine d'un effet de lentille. L'étude d'une des raies atomiques de l'atome du magnésium à l'aide des instruments équipant le télescope Gemini North a non seulement permis de déterminer la distance de ce quasar mais a aussi permis d'évaluer la masse du trou noir supermassif : environ 700 millions de masses solaires (pour mémoire, celui de la Voie lactée n'en contient que 4 millions environ).

     
    La lumière du quasar J0439+1634, distante de 12,8 milliards d'années-lumière, passe à proximité d'une galaxie faiblement lumineuse distante d'environ six milliards d'années-lumière sur ce schéma. La gravité de cette galaxie au premier plan déforme l’espace autour d’elle, selon la théorie de la relativité générale d’Einstein. Cela dévie la lumière comme le ferait une lentille optique, agrandissant l’image du quasar par un facteur de cinquante, tout en divisant l’image du quasar en trois. La galaxie au premier plan et le quasar à images multiples visibles sur une image haute résolution du télescope Hubble. Les télescopes au sol, notamment MMT, Keck, Gemini, LBT et JCMT ont été utilisés pour observer ces objets en longueurs d'onde visible, infrarouge et submillimétrique, pour mesurer sa distance et pour caractériser son trou noir central et sa galaxie hôte. © Nasa, Esa, Xiaohui Fan (Université de l'Arizona)

    Des observations effectuées à des longueurs d'onde submillimétrique avec le télescope James Clerk Maxwell au sommet du Mauna Kea suggèrent que l'activité du trou noir supermassif en mode quasar semble provoquer, probablement à cause du rayonnement ou des jets et vents de matière associés à l'accrétion, l'effondrement de nombreux nuages moléculaires. De sorte, que le taux de formation d'étoiles dans la toute jeune galaxie entourant ce trou noir pourrait bien être aussi élevé que 10.000 étoiles par an (contre une dans la Voie lactée de nos jours).

    Astrophysiciens et cosmologistes n'en ont pas fini avec J0439+1634. Ils prévoient de l'examiner de plus près avec Alma et enfin le télescope spatial James-Webb dont la résolution devrait nous permettre d'avoir des informations sur une région dont la taille est de 150 années-lumière autour du trou noir. L'objectif étant toujours de mieux comprendre les relations évolutives entre trous noirs supermassifs et galaxies dans l'histoire du cosmos observable.

     
    L'image en fausses couleurs, fournie par Hubble, montre les trois images d'un quasar fortement décalées vers le rouge alors que celle de la galaxie plus proche, mais nettement moins lumineuse, est indiquée par une couleur bleue. © Nasa, Esa, Xiaohui Fan (Université de l'Arizona)
    • Au début des années 1960, avec des radiotélescopes et ensuite dans le visible, on a découvert des objets qui apparaissaient comme des étoiles mais éloignés de plusieurs milliards d'années-lumière. Il devait s'agir d'autre chose pour être aussi lumineux et donc visible à ces distances.
    • Baptisés quasars, pour quasi-stellar radio source, on a vite soupçonné, au cours des années 1970, qu'il pouvait s'agir d'astres relativistes et en l'occurrence des trous noirs supermassifs. Depuis les années 1990, beaucoup d'observations ont consolidé cette hypothèse.
    • L'évolution de ces trous noirs est étroitement liée à celle des galaxies, de sorte que l'on cherche à comprendre ce lien, en particulier au début de l'histoire du cosmos, ce qui conduit à chercher des quasars de plus en plus loin.
    • Nous venons d'en découvrir un, le plus brillant connu à ce jour au cours des tout premiers milliards d'années du cosmos après le Big Bang grâce à Hubble et un effet de lentille gravitationnelle. Nommé J0439+1634, il pulvérise les records en étant aussi lumineux que 600.000 milliards de Soleils (avec un petit coup de pouce de l'effet de lentille gravitationnelle qui multiplie sa luminosité apparente par 50).

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    horoscope chinois 2019

    Comment sont donc ordonnés les animaux : Rat, Buffle, Tigre, Lapin, Dragon, Serpent, Cheval, Chèvre, Singe, Coq, Chien et Cochon ?

    Il était une fois l'Empereur Jaune chosirait 12 animaux pour être les gardiens du palais. Le chat confie au rat pour s'inscrire comme candidat. Malheureusement le rat a oublié, le chat n'a donc jamais été choisi, depuis lors le chat et le rat deviennt enemis jurés.

    Parmi les candidats il y a l'éléphant, par sa petite taille, le rat a entré dans la trompe de l'éléphant, l'éléphant s'enfuit ausitôt. Parmi les animaux restant, ils choisissent premièrement le buffle comme chef.

    Le rat est très intelligent, il monte sur le dos du buffle, le cochon aussi est contre, alors le rat est placé au premier, tandis que le cochon est le dernier.

    Le tigre et le dragon ne sont pas contents, pour consolation, le tigre est nommé le roi des montagnes, et le dragon le roi de la mer, ils sont placés après le rat et le buffle.

    Le lapin n'accepte pas, il réclame une course avec le dragon, en fin de résultat, il est placé devant le dragon.

    Alors le chien n'accepte pas, sous un coup de colère, il a mordu le lapin, pour cela il a été puni pour être placé l'avant dernier.

    Les serpent, cheval, chèvre, singe et coq se sont livrés aussi au combat un par un, chacun a gagné son rang selon le résultat. Finalement on abouti à la classification de ces 12 animaux zodiacaux des signes chinois du zodiaque chinois.

    Le Cochon/Porc  est le 12e et dernier animal du cycle zodiacal chinois. Selon la croyance populaire, il est sincère, honnête, confiant, sociable, travailleur et obstiné. On dit du Porc qu'il s'entend bien avec le Mouton/la Chèvre et le Lapin/Lièvre, et très mal avec le Serpent.
     
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    Que réserve l’année 2019 aux douze animaux du Zodiaque?

    LE COCHON

    Les natifs du Cochon aiment profiter de la vie et il en sera de même cette année. Nous vous recommandons de vous adapter aux changements qui auront lieu pendant cette période pour éviter les problèmes.

    Vous devrez faire preuve de mesure et maitriser votre appétit et vos dépenses. Les natifs du Lièvre, du Mouton et du Tigre pourront vous aider durant cette année.

    LE RAT

    Les évènements risquent de s’enchaîner un peu trop rapidement pour vous cette année, vous devrez donc faire de votre mieux pour rester concentré(e) sur vos tâches. Vous aurez l’occasion de saisir plusieurs opportunités au cours de cette année.

    Vous éviterez les problèmes en continuant d’agir comme vous avez l’habitude de le faire lorsque vous devrez effectuer des changements dans votre vie. Nous vous recommandons de surveiller vos changements d’attitudes.

    LE BUFFLE

    Le natif du Buffle est une personne plus paisible que le natif du Cochon, il est d’ailleurs assez différent de ce natif sur le plan des relations sociales. Nous vous conseillons de faire preuve de tolérance si vous fréquentez des natifs du Cochon.

    Vous ne devez pas hésiter à vous faire plaisir pendant cette année. Vous pouvez profiter de cette période pour faire de longs voyages car ces déplacements auront une influence positive sur votre vie.

    LE TIGRE

    Cette année s’annonce positive pour vous car l’influence du Cochon vous portera chance. Vous aurez la possibilité de faire des rencontres intéressantes pendant cette période, ces nouvelles relations vous permettront d’améliorer votre vie professionnelle et de voyager.

    Cette année sera également propice à l’amour et à la romance. Vous devrez toutefois limiter vos dépenses, malgré votre enthousiasme.

    LE LIEVRE

    Le Cochon aura une influence très positive sur votre vie pendant cette période. Vos amis vous soutiendront et vos relations vous aideront à progresser sur le plan professionnel. Vous devrez cependant éviter les situations hasardeuses ou risquées sur le plan financier.

    Cette année vous permettra de profiter de plusieurs opportunités et vous pourrez également profiter de cette période pour vous détendre et vous amuser.

    LE DRAGON

    L’année à venir sera propice aux célébrations et à la réussite professionnelle. Vous pourrez également envisager de vous marier pendant cette période. Nous vous conseillons de demander de l’aide à votre entourage pour éviter surmonter les obstacles durant cette année.

    Nous vous recommandons aussi de prendre le temps de vous reposer et de vous détendre pendant cette période.

    LE SERPENT

    Cette période ne sera pas vraiment favorable pour vous car le Cochon est votre signe opposé. Vous risquez donc de devoir gérer des difficultés, des retards, des changements et peut être même des accidents pendant cette année.

    Vous devrez probablement voyager pendant cette période et ces déplacements vous permettront de gérer plus facilement l’année du Cochon. Nous vous conseillons de porter un pendentif en forme de Tigre pour bénéficier de la protection de cet animal du zodiaque pendant l’année 2019.

    LE CHEVAL

    Ce signe profitera également de l’influence positive de l’année du Cochon. Vous serez prêt(e) à faire de nouvelles expériences et le Cochon vous permettra de saisir plusieurs opportunités sur le plan social pendant cette période.

    Nous vous conseillons de garder l’esprit ouvert dans tous les domaines pour profiter pleinement de l’année 2019.

    LE MOUTON

    Cette période s’annonce très favorable pour le Mouton car ce signe profitera pleinement de l’influence positive du Cochon. Cette année sera propice aux nouveaux projets, aux nouvelles opportunités et aux avantages liés à la vie sociale.

    Cette période vous permettra également de recevoir des récompenses et d’être apprécié(e) à votre juste valeur. Vous aurez également la possibilité de vivre une histoire d’amour durant cette période. Nous vous conseillons de profiter de tous les avantages qui s’offriront à vous pendant cette année.

    LE SINGE

    Vous serez très occupé(e) pendant cette année et vous devrez donc prendre le temps de vous reposer. Nous vous conseillons de garder une trace écrite de tous vos projets/idées et de vérifier soigneusement tous leurs détails.

    Vous devrez éviter de suivre aveuglément votre intuition pendant l’année 2019. Nous vous conseillons également de prendre le temps de vous reposer et de profiter de la vie.

    LE COQ

    L’année du Cochon s’annonce très mouvementée pour vous, vous devrez toutefois prendre le temps de réfléchir avant d’agir afin d’éviter de perdre votre temps. Nous vous conseillons de vérifier tous les détails de vos projets, de respecter votre agenda et de bien vous organiser.

    Vous aurez également besoin du soutien de vos amis pendant cette période.

    LE CHIEN

    Le natif du Chien profitera d’une vie sociale active pendant cette année. Vous ne ménagerez pas vos efforts pour aider les autres, vous pourrez notamment participer à des courses caritatives durant cette période.

    Vous devrez faire preuve de patience car vous n’obtiendrez pas tout ce que vous souhaitez au cours de l’année du Cochon. Nous vous conseillons d’organiser des voyages/ vacances agréables pendant cette période.An chinois du Cochon 2019


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  • https://www.activiteparanormale.com/pages/insolite/un-astronome-annonce-avec-certitude-que-le-mois-prochain-la-terre-sera-frappee-par-un-asteroide-qui-declenchera-des-tsunamis-ravageurs.html?fbclid=IwAR1eyE8_K_litYCiK5-qRntTiSHrrqAQ7Jje3rOBL7HdTpVDQahC1W3R_Z4

     

    Il y a un an, un objet semblable à un astéroïde dont la trajectoire mène près de notre planète, a été détecté par la NASA. D’après cette dernière, le 25 décembre prochain, cet objet frôlera la terre par 51 millions de kilomètres.

    Cependant, un astronome auto-proclamé, expose une tout autre théorie : le 16 décembre, non seulement l’astéroïde s’écrasera sur Terre, mais en plus, il déclenchera u méga-tsunami.

    L’objet qui a été découvert par la mission NEOWISE de la NASA, et qui se situe entre la comète et l’astéroïde, a pour nom 2018 WF9.

    Au cours de sa course qui a débuté il y a 5 ans maintenant, il a d’abord traversé la ceinture d’astéroïde, croisé l’orbite de Mars, avant de s’encastrer dans celle de la Terre.

    Un astronome auto-proclamé de nationalité russe, le Dr Dyomin Damir Zakharovich, affirme que c’est droit sur notre planète que se dirige 2018 WF9.

    « L’objet nommé WF9, est sorti du système Nibiru en octobre, lorsque Nibiru a commencé par tourner autour du Soleil dans le sens antihoraire, » explique t-il

    Un astronome annonce avec certitude que le mois prochain la terre sera frappee par un asteroide qui declenchera des tsunamis ravageurs 2

    « Dès lors, la NASA avait conscience de ce qu’il frapperait la Terre, mais n’en parle que maintenant. Si cela se produit, des villes seront détruites, ou il y aura un tsunami. Nous courons tous un grand danger. »

    Quant à la NASA, elle maintient que la trajectoire de 2018 WF9, qui a un diamètre avoisinant le 1 kilomètre, est parfaitement connue, et que cet objet ne constitue ne rien une menace pour la Terre.


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    https://www.maxisciences.com/espace/un-incroyable-fossile-du-big-bang-decouvert-dans-l-univers_art42345.html?utm_term=Autofeed&utm_campaign=maxisciences&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2aBmzeqpGN11Xrk4-GeLtzrAsZ5aHj8X8MYVjKiWF59_c3WmWC_61Mp0g#Echobox=1545544952

     

     

    Des chercheurs ont décelé aux confins de l’Univers une nébuleuse pour le moins singulière. Vierge de toute "pollution" par des étoiles, elle constitue un véritable "fossile" du Big Bang.

     

    Les paléontologues n’ont pas le monopole des fossiles ! Les astronomes peuvent eux aussi mettre au jour des reliques venues tout droit de la nuit des temps. En témoigne l’incroyable découverte effectuée par des chercheurs de l’Université de technologie Swinburne, en Australie, grâce à l’un des plus puissants instruments optiques du monde : les télescopes-jumeaux de l’Observatoire W.M. Keck, une installation située au sommet du mont Mauna Kea, à Hawaï, à 4.145 mètres d’altitude.

    Dans une publication à paraître dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, les astronomes Fred Robert et Michael Murphy révèlent la détection d’un étonnant "nuage", qualifié de "fossile" du Big Bang. "Cette nébuleuse particulière semble pure, épargnée de toute pollution par des étoiles, même [des milliards]d’années après le Big Bang"dévoile dans un communiqué Fred Robert. "L’explication la plus convaincante est qu’il s’agisse d’une véritable relique du Big Bang", avance le scientifique.

    Une luminosité inégalable

    Pour parvenir à cette découverte, les astronomes ont fait appel à deux des dispositifs installés à l’Observatoire W.M. Keck : l’Echellette Spectrograph and Imager (ESI) et le High-Resolution Echelle Spectrometer (HIRES). Des outils qui leur ont permis d’analyser le spectre émis par une structure très particulière : un quasar.

    L’un de ces objets célestes hors du commun se trouve en effet derrière le fameux "fossile" du Big Bang. Principale singularité : sa luminosité, sans pareille dans l’Univers. Et c’est justement cette puissante source lumineuse qui a permis aux astronomes d’observer les éléments présents dans la nébuleuse vierge de toute "pollution" stellaire.

    "Nous avons ciblé des quasars vers lesquels des chercheurs n’avaient précédemment observé que des ombres d’hydrogène […]. Cela nous a permis de découvrir rapidement ce fossile si rare, à l’aide des télescopes jumeaux de l’Observatoire Keck", retrace Fred Robert. Une découverte inédite qui fait suite à seulement deux précédents.

    Des découvertes fortuites

    "Les deux premières furent des découvertes fortuites, et nous pensions qu’elles n’étaient que la partie émergée de l’iceberg. Mais personne n’avait [ensuite]découvert quoi que ce soit de comparable - elles sont à l’évidence très rares et difficiles à observer. C’est invraisemblable d’en découvrir finalement une de façon méthodique", se réjouit John O’Meara, découvreur de l’une des deux nébuleuses précédentes. Une avancée majeure qui ouvre des perspectives inédites pour l’astronomie, comme le souligne finalement Michael Murphy :

    "Il est maintenant possible de faire un relevé de ces reliques fossiles du Big Bang. Cela nous révèlera à quel point elles sont rares et nous aidera à comprendre comment certains gaz ont formé des étoiles et des galaxies dans l’univers primitif, et pourquoi d’autres pas." Les "fossiles" astronomiques semblent décidément aussi riches d’enseignements que ceux des paléontologues.


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